lundi 23 mars 2015

MODEAPARIS, L'IMPLOSION

Entre les cafés "Lavazza", le Cola Parisien, et même la marque de maquillage low cost "Gemey", les sponsors de la Chambre Syndicale sont choisis avec beaucoup de discernement !

La participation des adhérents devient de plus en plus difficile, surtout provenant des grands groupes comme Chanel et LVMH. Les dépenses dispendieuses dans différents outils à la fois de communication et autres viennent trouer un budget qui, aujourd'hui, est déficitaire. 

Lâché par ses principaux sponsors grands pourvoyeurs d'argent qui sont aujourd'hui les grands groupes, les banquiers et les journaux, et qui considèrent à raison que l'utilité de la Chambre n'a aujourd'hui aucune pertinence.

La Chambre Syndicale se voit dans l'obligation de serrer les boulons. Il est probable que le bilan chronique d'un dépôt moral et physique annoncé, ne sera pas mis à la solde de Monsieur Grumbach, dommage pour les suivants ! Mais, nous le savons usuellement que les responsables de ces dépôts ne sont jamais pris. N'oublions pas que Monsieur Grumbach a à son actif le dépôt de bilan de 5 sociétés qui étaient sous sa présidence. 

Il a commencé par l'entreprise familliale Mendes, ensuite à continuer avec Mugler, ainsi qu'avec une société qui avait été créée avec Andrée Puttman, mais arrêtons là car tout le monde connaît l'histoire et les sociétés, et pourtant, personne n'a rien dit à sa nomination.

Mise à mal par une bande d'incompétents, ou comment un organisme plus que centenaire se voit mis à bas par des intellectuels bien pensants et n'ayant aucun bon sens. Bienvenue dans le monde merveilleux de la mode et ses coulisses de courtisans florentins. 

La prééminence française date du XVIIe siècle, époque à laquelle les arts, l'architecture, la musique et la mode de la Cour de Louis XIV à Versailles sont admirés et imités par l'Europe entière. C'est pour cela qu'aujourd'hui le comportement de certains est plus proche de la Cour de Louis XIV que de la démocratie que nous connaissons actuellement.





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