LA TRAQUE

Les actionnaires de LVMH ont approuvé la distribution de 25,45 millions de titres Hermès en leur faveur, conformément à l'accord de pacification conclu entre LVMH et Hermès et annoncé le 3 septembre après quatre ans d'une bataille acharnée entre les deux groupes. LVMH lâche ainsi les 23,10% qu'il détenait dans le fabricant des carrés de soie et des sacs Kelly et Birkin.

Sur la base d'un cours de 260 euros par action Hermès, la plus-value nette pour LVMH se chiffre à "environ 2,4 milliards d'euros" - good deal !!!. Il faut y ajouter environ 1 milliard d'euros de plus-value déjà digérée dans les comptes de LVMH.

Mardi, le vice-président du groupe, Pierre Godé, a assuré une nouvelle fois que LVMH n'avait fait qu'une opération financière" en investissant dans Hermès, sans jamais viser une prise de contrôle. "Nous l'avons toujours dit et répété. Beaucoup de monde a pensé le contraire à tort".

LVMH se désengage de Hermès mais Bernard Arnault conservera environ 8,5% du capital du sellier via la holding patrimoniale du Groupe Arnault. Techniquement, le versement aux actionnaires de LVMH des titres Hermès, sous la forme d'un dividende en nature, aura lieu le 17 décembre.

Mais, à notre avis, la hache de guerre LVMH n'est pas totalement entérée, car un prédateur ne lâche jamais sa proie.

KIM NUE

Kim Kardachiant qui, avec son corps, cherche non pas le buzz mais la reconnaissance de son propre égo, en réinventant la pin-up des années 50. En copiant systématique de vieilles idées pour faire une page de plus dans les magazines de mode, elle accentue et ridiculise le monde de la mode.

Le côté people des starlettes comme Nabilla ne peut être pour les couturiers une valeur auprès du grand public, car personne n'est dupe, et personne ne pense que Madame X ou Madame Y porte une robe de Haute Couture par plaisir, car souvent les vêtements sont inconfortables et peu pratiques à porter.

Les marques continuent leur opération de désinformation de leur propre profession en parlant de marketing sensoriel, ou autres billevesées de la sorte. Les modeux de la profession sont plus convaincus par leur propre image, que par les marques qu’ils défendent, avec des armes de papier déjà mâché. Malheureusement, les modeurs de moche préfèrent inventer des mots pour se définir, car ils ne trouvent pas leur qualité dans les dictionnaires ne faisant partie d’aucun groupe.

Kim singe la pin-up, Maryline Monroe. C'est une bien une pâle copie de la belle blonde plantureuse femme-enfant qui voulait briller avec les étoiles et les grands de ce monde,  pour finalement mourir dans un hôtel borgne de banlieue, les veines pleines de sang pollué par la vindicte populaire,  qui regardait ce spectacle avec les yeux de voyeurs invétérés et sans pudeur aucune.

Comme Loulou de La Falaise, égérie de St Laurent, kim Kardachiant aimerait être la muse d'un couturier, mais, aucun designer ne semble intéressé pour cacher son cul et la réhabiller à la mode un krime ma chiante. Image subliminale de Jean Paul Gould, elle se raccroche à tous les génies de la communication pour continuer à tirer ses dernières cartouches. Bientôt, elle n'aura plus de cartouche, et nous lui annonçons un retour dans l'anonymat le plus complet, car Madame Kim vous ne serez jamais personne dans la mode. Cela est une certitude.

OBJECTIF LUNE

Le groupe LVMH, toujours plus enclin à faire connaître la marque Vuitton dans le monde, a le projet complètement ahurissant de lancer sur la lune deux dragueuses qui auraient pour objectif de creuser un sillion large de plusieurs centaines de kilomètre, entièrement automatisé, qui représenteront le logo Louis Vuitton sur la lune. 

Cette sculpture, qui pourrait être associée à de l'art interstellaire, sera visible chaque nuit par temps claire du monde entier. Cette promotion coutera au groupe plusieurs milliards de dollars ce qui assurera à la marque une campagne publicitaire permanente, et il faut le dire, très nouvelle dans l'utilisation de l'espace au sens figuré et au sens propre du terme.

Toujours plus de promotion, toujours plus de lisibilité, Louis Vuitton sera la première marque dans l'univers qui aura installé son logo sur une autre planète. Nous pouvons deviner la prochaine publicité : Louis Vuitton, les bagages du bout du monde. Cela ne s'invente pas. Non !!!

VICTORIA NO SECRET

Après la collection aux Ailes d'Anges qui sera le nouveau defilé de Victoria's Secret le 2 décembre, la maison a décidé de réhabiller son parfum Heavenly de deux ailes en cristal de Swarovski. La luxueuse édition, dont la marque a fait la promotion sur Twitter, rappelle les volumineuses paires d’ailes arborées par ses mannequins stars, souvent décorées des mêmes paillettes de verre.

Vendue au prix de $250 (environ 200 euros) sur le site de Victoria's Secret, cette mouture du parfum est, bien entendu, limitée en nombre. Pour la première fois, le 2 décembre Victoria’s Secret défilera à Londres. Si les tops telles que Karlie Kloss, Jourdan Dunn, Lily Adlridge, Alessandra Ambrosio et Adriana Lima sont déjà confirmées, d’autres pourraient toutefois venir s’ajouter à cette liste de super stars.

En revanche, Cara Delevingne et Kendall Jenner, pressenties pour le show pourraient plutôt s’envoler pour Salzbourg, afin de participer au défilé des Métiers d’Art de Chanel. 

CHOUPETTE SUR LA COUVERTURE DU «VOGUE» BRÉSIL

La chatte qui travaille la plus dans la mode, Choupette de Karl Lagerfeld, est à la une du Vogue de décembre au Brésil,  avec sa compatriote superstar Gisele Bündchen. 

La chatte sur un toit brûlant de dollars, comme l'héritière de Karl qui n'a pas d'enfant, se fait star dans le Vogue Brésil. Pour Karl Lagerfeld, sa chatte a plus d'importance que ses propres congénères : un scandale absolu dans un pays où les gens meurent encore de faim et d'insécurité dans les favelas.

Mais quoi de plus agoraphobe que les gens de la mode, qui tournent autour de leur propre nombril, même si des grandes causes comme le Sida sont portées par eux. Il n'en reste pas moins que celles-ci ne défendent que des causes de riche au mépris d'autres causes bien moins glamour. Ils se consacrent au sida parce que cette cause les touche personnellement, mais les morts moins glamours de la faim dans le monde ne reçoivent aucun écho. 

Monsieur Lagerfeld fait mieux en donnant à un chat une tribune, qui pourrait faire vivre plusieurs milliers de familles. Sa Rolls-Royce Phantome a, elle seule, pourrait nourrir plusieurs centaines de familles pendant plusieurs années. C'est la dichotomie qu'il y a dans la mode ; l'indifférence de ces créateurs qui vont chercher leur inspiration dans la rue, mais qui ne veulent rien donner à la rue en retour. Désolant, Non ?

Anonymode.

McQUEEN IN PARIS

Pour les afficionados, "un Must" car la marque Alexander McQueen vient de signer une boutique au 372 rue Saint-Honoré à Paris. C'est une surface de 600 mètres carrés qui sera le nouveau concept conçu par Sarah Burton, la directrice de la création, en collaboration avec le bureau d'architectes luxe et design David Collins.

Ouverture prévue en mai 2015. Les clients pourront trouver les pièces de la saison en cours ainsi que les pièces emblématiques de McQueen, foulards imprimés têtes de mort et autres. L'ambition globale et le développement commercial de la marque vous seront communiqués au moi d'avril 2015.

La griffe est distribuée aux Galeries Lafayette et au Printemps à Paris et vient d'ouvrir un point de vente style futuriste à Monaco.

LENA CRAIG

Je me demande souvent comment Monsieur Diego Della Valle ne recherche pas dans la France un designer comme Lena Craig qui pourrait remplir la fonction de créatrice chez Schiaparelli. La question à se poser : c'est pourquoi cette jeune femme bourrée de talents reste inconnue du grand public alors que les professionnels la connaissent et la reconnaissent depuis plus de 15 ans et vie de son métier.

A l’occasion des 15 ans de sa marque de Prêt-à-Porter féminin Haut de Gamme, Lena Craig présente à Paris une ligne expérimentale sous le nom de «Degré Zéro ».

Cette nouvelle ligne envisage le vêtement autrement, « effaçant » tout ce qui a pu se faire dans la mode, les concepts, les styles, et ce à travers le temps, afin de revenir à l’utilité première du vêtement au degré zéro de la création. Un vêtement, qui doit, d’abord, répondre aux besoins physiologiques du corps avant de donner une personnalité à la femme qui le porte.

Pour ce faire, c’est à la création du monde et de l’homme et à son analyse qu’il convient de démarrer les recherches, à la cellule qui constitue la base de la vie sur Terre et donc la base de travail de cette collection expérimentale.

La cellule devient motif.

Elle détermine la forme générale de la ligne, comme cette robe-manteau tout en rondeur et douceur, en laine mohair avec application, sur la ceinture, d’une « cellule « en fibre de laine recomposée.

La constitution génétique du corps à travers les cellules définit ainsi une base de couleur en fonction de son emplacement sur le vêtement .

La gamme va du rouge sang au plus près du corps, à l’écru pour son enveloppe protectrice, partie externe du vêtement, comme le noyau et l’enveloppe d’une cellule.

Travail sur la matière, en utilisant la cellule animale, l’une des premières utilisées par l’homme, la « Kératine animale », la laine dans son état brut.

Transformation de la laine en support, avec l’avantage de pouvoir maîtriser la quantité de matière utilisée, sans aucune perte. Analyse des besoins physiologiques du corps, besoin en chaleur, fonction médicale et bienfaits du vêtement et ses couleurs pour définir la forme et le positionnement des matières.

En tout fin de ce travail de recherche, vient l’aspect esthétique de la ligne simplement pour renforcer la personnalité de la femme qui la porte, sans faire référence à un style déjà connu sans donner d’uniformité. Le vêtement doit donner l’impression de singularité, d’où la réalisation des applications de laine à l’unité,  parce que chaque être est unique. Une ligne qui reste donc Haut de Gamme dans sa conception.

Une collection bien accueillie jusqu’à présent lors de cette exposition, qui verra ses déclinaisons dans une prochaine collection pour le prêt-à-porter hiver 2015/2016.

Faire votre demande d'information à cette adresse: lenacraigstudio@gmail.com

UN TYCOON CHEZ MES CREATEURS JOAILLIERS

Dimanche, nous avons rencontré Bernard Arnault au nouveau salon «Mes Créateurs Joailliers" à St-Germain des Prés.

Après avoir déjeuné au restaurant "Le Coste" place St-Germain-des-Prés, avec sa famille, il a décidé d'aller jeter un coup d'oeil à l'exposition de bijoux qui se trouve dans le même immeuble au Palais de l'Industrie.

Myrtille Mousson, qui est la Directrice Générale et le Commissaire Générale du salon, a été à la fois très impressionnée et ravie que le Magna du Luxe vienne faire un tour lors de la première édition de son salon. Monsieur Arnault a même été jusqu'à constater que certains des fabricants concepteurs étaient très prometteurs. Il semblerait même qu'il ait fait quelques achats de noël mais le montant ne nous a pas été révélé.

Le tycoon du Luxe à la Française sera certainement très à l'écoute pour la prochaine édition en 2015. Nous le remercions de nous avoir permis de le suivre dans le salon.

LE LAQUAIS DE LA COUTURE PROMEUT SON MENTOR

Stéphane Wargnier, le laquais de Didier Grumbach et homme de confiance, donne à son mentor une tribune post-mortem, afin de nous aider à décripter la mode. Il déclare une chose tout à fait ahurissante "La  Mode doit être enracinée dans la France et en particulier à Paris". C'est certainement sa jeunesse, de corps ou d'esprit qui lui empêche de relire les déclarations de Monsieur Didier Mendès quand il était dans l'entreprise familliale où il déclarait comme tous les visionnaires de l'époque que la Haute Couture était morte. 

"Histoire de la Mode à l'International" écrit par Didier Grumbach ; d'abord publiée en français en 1993 puis mise à jour en 2008 et en 2014. Sa traduction en anglais a été publié en Inde récemment et en a vendu actuellement 200 pièces. Toutefois, l'histoire ne dit pas si Monsieur Wargnier a acheté les 200 pièces de son mentor. En outre, quand il dit que Monsieur Grumbach a monté avec Pierre Bergé, "Saint Laurent Rive Gauche", c'est véritablement oublié que c'est Pierre Bergé, lui-même, pour forcer le groupe Mendès à fabriquer pour Saint Laurent qu'il a annoncé leur partenariat dans les journaux les mettant ainsi devant le fait accompli.

L'ex-président de la Haute Couture, atteint d'une grave maladie, tire ses dernières cartouches pour passer à la postérité. Je sais bien que l'on a l'habitude dans ce pays de ne pas tirer sur une ambulance, mais la promotion mondiale de Monsieur Mode, comme il aime à être appellé, (j'aurais plutôt dit "l'homme de la dol") nous reste en travers de la gorge,  faisant plus pour lui personnellement que pour la profession pendant plus de 20 ans.

Le toutou à son maître a trouvé sa tribune, mais compter sur nous pour lui faire rendre gorge des malversations intellectuelles permanentes de ce petit monde - même Monsieur Tolenado vient de leur dire qu'il a trop de travail avec Puig et qu'il ne participera pas à leurs décisions par manque de temps - courage fuyons !!!

Bref rien de nouveau sur la planète mode !!!

Anonymode

RAF SIMONS REINVENTE LE PLUG A NOEL

Comme chaque année à l’approche des fêtes de fin d’année, le Comité Montaigne réunit le comité pour choisir les plus grands noms de la mode et du design autour de l’association 'Les Sapins de Noël des Créateurs'.

Après l'affaire de McCarthy du Comité Vendôme, ils ont choisit, pour cette 19e édition, Raf Simons, s'assurant ainsi le degré zéro de l'imagination, mais surtout la prudence. Car, après le camouflet de McCarthy, le Comité Montaigne choisit Dior - Bizzare, Non !!!

En realité, Monsieur Arnault a mis son grain de sel, et a ainsi imaginé un grand arbre de bulles multicolores pour la maison Dior ; joujou qu'il possède en nom propre. Afin de rappeler l’univers de la maison de couture Française, la teinte grise est dominante. Elle ne rapelle en aucun cas la grisaille de la crise qui ravage ce pays, car ce gris fait référence aux teintes de la Maison Dior. 

Une véritable œuvre d’art nous dit-on, qui sera exposée à partir du 28 novembre dans la boutique Dior de l’avenue Montaigne. Mais, la véritable oeuvre d'art sera la visite de l'exposition 'Splendeur des Han' au musée Guimet à Paris pendant les fêtes de Noël.

Le 15 décembre, au cours d’un diner caritatif au restaurant la Maison Blanche, les sapins seront vendu aux enchères. Tous les bénéfices seront ensuite reversés à la fondation médicale contre le cancer. Normal car Raf Simons, un vrai cancer !!!!

Anonymode

UN CAMOUFLET POUR LA CHAMBRE SYNDICALE

Nous apprenons de source officielle que le talentueux Designer Eric Tibusch a été choisi pour réaliser la robe des finalistes de Miss France 2015 (ci-contre le dessin que le créateur a proposé). 

L'histoire est tout à fait croquignolesque : la Chambre Syndicale qui avait l'intention de l'inviter pour les collections Haute Couture de janvier 2015 s'est vu infliger un camouflet de la part du créateur qui a refusé l'invitation. Il semble qu'il aurait même ajouté : faire partie d'un groupe de designers dont fait partie Anne Valéry Hash n'est pas valorisant pour mes créations et que, selon lui, il y a d'autres couturiers qui méritent l'appellation Haute Couture. 

Le mur agoraphobe de la Chambre Syndicale vient pour la première fois, depuis plus de 100 ans, être percé de vérité. C'est au moment des festivités de la chute du Mur de Berlin, que l'édifice "Establishment" de la Chambre Syndicale s'effrite et devrait bientôt tomber. Malheureusement, le satisfecit que je pourrai en tirer, ne me convient pas, car l'ayant annoncé, il y a longtemps, aucune modification, malgré les mises-en garde, n'ont visiblement été écoutées.

Anonymode

OH BAO BAO WAN !

La chinoise mondaine, artiste pop, philosophe, muse et créatrice de bijoux Bao Bao Wan a fait équipe avec MAC pour une collection capsule de maquillage pour 2015 prête à être distribuée dans le monde en mars. La collection Bao Bao Wan MAC sera composée de neuf produits distincts inspirés par la créatrice aux multiples talents.

"Pierres et sensualité sont les éléments de la M · A · C collection Bao Bao Wan", a expliqué la créatrice. La collection comprend une poudre de beauté, une palette de quatre rouges à lèvres et trois vernis à ongles. La recherche des couleurs vient directement de son travail: «Je dessinais beaucoup avec la création de mes bijoux. La collection est donc constituée des nuances de mes pierres précieuses rares, en harmonie avec plusieurs couches d'or.».

PIED DE NEZ AU VIRTUEL

On se rencontre pour de vrai autour d’une table au restaurant, pour suivre un cours de cuisine, ou visiter une expo. C'est le modèle d’une « sortie entre ami(e)s », un retour aux sources en pied de nez au virtuel amorcé récemment par les sites de rencontres, mais expérimenté depuis quelques temps par d’autres sites organisateurs d'événements réels.

Échanges de regards complices, le timbre feutré d’une voix… Retrouvez le goût authentique d’une rencontre IRL (In Real Life). Tendance du moment ou vraie évolution, difficile de l’affirmer pour l'instant, mais les entremetteurs de rencontres bien réelles ont le vent en poupe.

Ces rencontres « dans la vraie vie » se concrétisent en tête à tête autour d’un petit café ou d’un verre, éventuellement, d’un dîner. Malheureusement, au contact du réel, la magie du virtuel fond comme neige au soleil. C’est le choc de la première rencontre, la confrontation brutale à la réalité. On découvre l’autre sans artifices. Son double virtuel, modelé par notre imagination au fil de longues discussions, vole en éclats. La déception éprouvée est inéluctable, et surtout, proportionnelle à l’attente.

Pour parer à ce problème, il suffit tout simplement de reproduire un dispositif existant qui a fait ses preuves : la sortie entre ami(e)s. De nombreux couples se sont rencontrés ainsi pour la première fois, au cours d’un dîner ou d’une sortie, un moment convivial et détendu propice aux échanges et à la séduction. C’est justement ce cocon qu’il faut simuler en réunissant, autour d’une activité prétexte, quelques personnes et laisser la magie opérer.

Après les excès du virtuel, les vraies relations humaines font leur grand retour et beaucoup de gens vont être obligés de revenir dans la vraie vie avec tout ce que cela impose de correction, politesse, respect de l'autre... A bon entendeur, salut !

Anonymode

C'EST LE PRINTEMPS POUR BURBERRY

Après Prada l'an dernier et Dior fin 2012, c’est au tour de Burberry d'investir les vitrines et l’atrium du Printemps Haussmann, à l'occasion des fêtes de fin d'année.

C'est Christopher Bailey, directeur artistique de la Maison, et son équipe, qui ont mis en scène et en musique les devantures du grand magasin. En effet, les vitrines ont revêtu les couleurs de la Grande-Bretagne, en hommage aux origines de la marque, et retracent l’histoire d’un petit garçon, qui voyage avec son ours en peluche, depuis le flagship de la marque sur Regent Street à Londres, jusqu’au magasin parisien. Un concept baptisé "Noël, Voyage magique by Burberry", qui ravira les plus petits. 

Ceux-ci pourront, pour l’occasion, admirer la façade du Printemps représentant un petit garçon animé, en 3D, et son nounours, hauts de quatre mètres. 

Mais, les plus grands ne sont pas en reste puisque les vitrines sont interactives. En effet, Burberry a mis toute son expertise technologique
au service du Printemps, de sorte que les spectateurs peuvent contrôler certains éléments du décor grâce à leurs smartphones, créant ainsi le périple qu'ils souhaitent faire suivre au petit garçon. Ils pourront pour cela interagir sur la météo, mettre l’enfant et son ours au cœur d’une tempête. Les images créées seront alors retransmises directement sur leur téléphone et il leur sera aussi possible de créer des cartes postales digitales à partir des scènes des vitrines, qu’ils pourront ensuite partager sur les réseaux sociaux.

Enfin, pour les plus "fashion", Burberry a imaginé une collection capsule pour l’occasion. Celle-ci est composée de pièces de prêt-à-porter (trenchs, pulls, t-shirts, chemises, pantalons…), d'accessoires (nœud papillon, sacs à main, portefeuilles, pochettes iPads, bougie, porte-clés, chaussures, foulard, montre, lunettes de soleil…), de collectors beauté. Enfin, vient s'ajouter à cela une édition limitée du dernier parfum, "My Burberry", orné, pour l'occasion, d'un nœud de gabardine rouge (à la place du brun habituel). Ce sont, d'ailleurs, les égéries de la fragrance, Cara Delevingne et Kate Moss, qui ont inauguré les vitrines le 6 octobre à 17h30.

Les onze vitrines de la grande enseigne du boulevard Haussmann sont aux couleurs de Noël jusqu'à début 2015. Ne reste plus à petits et grands qu'à se frayer un chemin parmi la foule pour les admirer !

MYRTILLE MOUSSON

Un jour de septembre, j'ai rencontré une jeune femme formidable. C'était un lundi sous le soleil de Paris. Je profitais des quelques rayons pour aller me promener à St Germain des Prés. La concurrence était forte entre les scooters sur le boulevard comme tous les matins. Il y avait les frimeurs, les rapides, les hédonistes comme moi et les chefs d’entreprise que l’on reconnait au Weston que l’on aperçoit sous les caches poussières.

J'étais concentré sur ma route. Je pensais au bricolage qui m'attendait et j'échafaudais des plans précis de ce que j'allais réaliser. Soudain, mon regard croisa celui d'une femme en scooter rouge, qui filait comme une fusée fluide et élégante. Elle passait les obstacles avec une grâce et une détermination impressionnante. 

Je décidais de la suivre pour voir jusqu’où va son audace de cette conduite si énergique. Elle vient se garer devant un bâtiment qui s’appelle « Société d’Encouragement pour l’Industrie National » !!! Mon intérêt et mes interrogations grandissaient à chaque instant. Qui est cette fusée rouge qui venait de débouler du boulevard St Germain.

Comme d'habitude, quand je remarque quelqu’un qui suscite mon intérêt, par sa conduite ou son élégance, j’engage la conversation par une plaisanterie : qui encouragez-vous dans cet immeuble ?

Je venais de rencontrer Myrtille Mousson : une femme bien de son temps, domptant la ville comme une professionnelle. Morte de rire de cette plaisanterie futile, elle se présenta et me dit  qu’elle était la créatrice d’un salon de Maîtres Joailliers français qui se tiendra ici en novembre, et me proposa de visiter les lieux, si cela m’intéressait.

Myrtille Mousson incarne le charme et la féminité à la française, mais surtout une ferme détermination à vouloir faire de son salon intra-muros un évènement incontournable de la vie parisienne. Je repartis après cette jolie rencontre comme disent mes copines de la presse féminine.

Puis, un matin de fin Octobre, en ouvrant ma boîte aux lettres, je découvre une lettre signée de Myrtille m’invitant à son salon qui se tiendra du 13 novembre au 16 novembre 2014.

Je lui confirme donc que nous serons là pour l’inauguration le 12, et que nous en parlerons dans nos blogs. C’est toujours intéressant une rencontre mais, c’est surtout évident, quand on se promène dans Paris. Il faut laisser libre ses inhibitions à rencontrer les autres. Cela donne toujours un peu plus de convivialité à nos vies. Ne trouvez-vous pas ?  Si vous aimez cet article dite le à Myrtille et Like ici

OH MY CREAM

Le 15 novembre prochain, "Oh My Cream !" Le concept store réservé aux griffes de cosmétiques plutôt pointues, ouvrira son second écrin parisien. Une boutique de 30 mètres carrés qui proposera pour la première fois un espace "personal shopper" doté d'un Ipad permettant de réaliser un diagnostic de peau en ligne et d’obtenir une sélection personnalisée de produits. Par ailleurs, ce nouveau magasin sera ouvert le dimanche. 

  

C’est en février 2013 qu’"Oh My Cream !" a ouvert sa première boutique dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés, au 3 rue de Tournon (VIe arrondissement). "Oh My Cream !" se décline également en un e-shop ainsi qu'un e-magazine. 

Juliette Lévy "Beauty-addict" depuis toujours, lassée de voir éternellement les mêmes marques à chaque coin de rue et de constater que les blogs et la presse regorgeaient de it-produits introuvables en France, et surtout fatiguée d'avoir à dépenser du temps et de l'argent pour enfin trouver des produits qui "marchent"... j'ai eu envie de créer un lieu qui fasse le tri, qui ne référence que la crème de la crème, et qui permette à toutes les femmes d'accéder à des produits qui ont fait leurs preuves.

Ainsi est né "Oh My Cream", le premier e-shop à proposer une sélection des marques de beauté les plus pointues ! Des plus cultes aux véritables secrets de beauté, du bio à la cosméceutique, des marques françaises aux pépites venant de l'étranger, découvrez ces produits plébiscités par les pros et révélés dans la presse qui vont révolutionner votre routine...

  

  

MONCLER, LES NERFS A VIS

Scandale du moment sur la planète mode, à l’approche de l’hiver… Dimanche 2 novembre dernier, la chaine italienne Rai 3 diffusait, dans le cadre de l’émission d’enquête "Report", un documentaire réalisé par Sabrina Giannini. Celui-ci montrait qu'à l’inverse de ce que la maison Moncler affirme, le duvet qu'elle utilise ne serait pas uniquement élaboré à base de plumes d’oie, mais aussi à partir de plumes de canard. C’est cependant un autre fait qui suscite, depuis quelque jours, l'indignation générale. En effet, le reportage montrait des paysannes hongroises plumer des oies vivantes, au mépris de la souffrance animale. 

Elles seraient pour cela payées entre 30 et 45 euros par animal et ce duvet servirait de garniture aux 3/4 de la production de doudounes Moncler. Résultat ? Le début d'une polémique. Le sort peu enviable des volatiles (plumés de la sorte 4 fois par an) a fait chuter le cours de Bourse de Moncler (cela fait près d'un an que la marque a fait son entrée à la Bourse de Milan) de façon significative : l’action du roi italien de la doudoune hors de prix a baissé de 4,91 %, à 10,52 euros, lundi.

Mais le PDG de Moncler, Remo Ruffini, dément se fournir en plumes en Hongrie, affirmant qu'il les achète en France, en Italie et en Amérique du Nord. Il assure qu'il n’a "rien à voir avec les fermiers et les compagnies qui travaillent de façon illégale et non acceptable", mais assume sous-traiter en Bulgarie et en Roumanie (il ne confirme néanmoins pas qu’il délocalise aussi en Transnistrie et en Arménie, ce qu'affirme Rai 3). "Toutes les plumes utilisées dans l’entreprise proviennent de fournisseurs hautement qualifiés, obligés de garantir contractuellement le respect des principes de protection des animaux", a-t-il précisé à la presse.

Mais ces contestations ne calment pas les consommateurs. Très vite, les réseaux sociaux se sont emballés de l’autre côté des Alpes, avec des commentaires révoltés tels que  "Nous boycottons les duvets", "Nous boycottons Moncler", "Nous n’achèterons pas vos doudounes", ou encore "Honte de torturer des animaux vivants".

Une histoire qui fait tâche alors que la marque (qui a récemment ouvert sa seconde boutique parisienne, au 171, boulevard Saint-Germain) lance sa nouvelle campagne de promotion. Alors cet hiver, optez plutôt pour les doudounes 100 % made in France de Pyrenex !

Clemode

LE SAVIEZ VOUS ?

Les femmes portent des talons hauts en période de dépression économique. La hauteur des talons est proportionnelle aux périodes de récessions économiques ; plus la crise est dure, plus les talons montent.

Les chaussures à talons plats des années 20 ont été remplacées par des chaussures à talons hauts et semelles compensées en 1929. Et, c'est dans les années 1970, lors du premier choc pétrolier, que réapparaissent les semelles compensées, coupant avec la mode des sandales à talons plats de la fin des années 1960. 

En période de crise économique, les consommateurs se tournent vers une mode plus rutilante et recherchent à exprimer leurs caprices ainsi qu'un sentiment d'évasion.

Cette fois, c'est différent, nous n'avons pas remarqué de véritable changement malgré une morosité économique. Peut-être qu'à long terme les consommateurs cherchent à atténuer le côté ostentatoire des objets de luxe, mais une chose est sûre c'est que les femmes sont toujours aussi jolies à Paris. Ne trouvez-vous pas ?

UN BIJOU DE SALON

C'est un lieu d'échange unique et chaleureux entre créateurs et professionels, au cœur de Paris, capitale de la mode. C'est aussi une invitation à s'inspirer des futures tendances, et de se donner la possibilité d'imaginer le meilleur avec les autres. Les trois dixièmes de la beauté féminine sont dus à la nature, les sept dixièmes à la parure, nous disait un sage chinois, mais ce salon MES CREATEURS JOAILLIERS' restera l'événement de Paris en novembre.

Un salon grand public réunissant une trentaine d'exposants sous l'appellation "Créateurs Joailliers". Il a pour vocation de présenter des produits en or et/ou platine et l'esprit est à la pièce unique, au sur-mesure, au fait main et surtout au "made in France". La première édition aura lieu du 13 au 16 novembre ici à l’Hôtel de l'Industrie, 4 place Saint Germain-des-Prés.

LES COLLANTS TENDANCES

Les collants font désormais bien plus que de nous protéger du froid, ils sont devenus de véritables accessoires de mode au centre des tenues. 

A une époque où les femmes n'étaient pas autorisées à porter des pantalons, les bas étaient un basique indispensable. Ils étaient simples mais chics, en soie et toujours avec une ligne sur l'arrière de la jambe pour la souligner. 

Sortir jambes nues ? Impensable ! A tel point, que, pendant la guerre et la pénurie de bas entre autre, les femmes se peignaient les jambes et dessinaient au crayon une couture pour les imiter. 

Avec les années 60 arrivent de nouvelles technologies : les coutures disparaissent, le nylon remplace la soie, et pour faire face à la mode des MINI-JUPES, le collant voit le jour. Les sixties et leur goût des couleurs proposeront de nombreux COLLANTS FLASHY ET OPAQUES avant un retour à la simplicité et aux collants noirs, fins et fragiles.

Et en 2014 ? Toutes les folies sont permises ! Les collants sont un accessoire tendance et tout le monde les adore. Avec l'arrivé de Calzedonia sur le territoire Français, le collant reste et il demeure un accessoire de mode indispensable.