lundi 30 juin 2014

WALTER VAN BEIRENDONCK

Couleurs pops, maquillages peps, diagonales bariolées et asymétries des formes : tel est le cocktail vitaminé de cette nouvelle collection. Il était temps, me direz-vous, que l’homme retrouve des couleurs pour le sortir enfin de sa morne grisaille. Tels des arlequins des temps modernes, les silhouettes peignent un paysage mosaïque, pluriel, au regard de notre société mouvante. Etonnant. Et d’autant plus étonnant que, lorsque l’on voit Walter avec sa barbe à la ZZ Top, on voit toute l’ironie et le décalage de la vraie créativité, trop rare de nos jours. 

C’est bien cela que doit faire la mode : créer des émotions, intriguer, dépasser les clivages pour finalement jeter l’Homme face à ses paradoxes et contradictions, ses attentes inavouées et sa lâcheté finale au moment de passer à l’acte. Car oui, nous sommes lâches ; nous aimons, nous défendons la créativité et, pourtant, nous n’osons pas glisser notre corps dans cette mode qui nous est présentée… Il faudra du temps encore pour que l’homme retrouve la mode comme un modus vivendi, une recréation de soi et pas une frivolité réservée à la femme.
J’aime résolument ce type de créateur qui fait chatoyer les vêtements autant que l’esprit, non sans une certaine truculence.

Jérémie Peluso


dimanche 29 juin 2014

RENCONTRE I.R.L JE CHANGE DE SEXE !!!

On se rencontre pour de vrai autour d’une table au restaurant, pour suivre un cours de cuisine ou visiter une expo. C'est le modèle d’une «sortie entre ami(e)s », un retour aux sources en pied de nez au virtuel amorcé récemment par les sites de rencontres, mais expérimenté depuis quelques temps par d’autres sites organisateurs d'événements réels.

Échanges de regards complices, le timbre feutré d’une voix… Retrouvez le goût authentique d’une rencontre IRL (In Real Life). Tendance du moment ou, vraie évolution, difficile de l’affirmer pour l'instant, mais les entremetteurs de rencontres bien réelles ont le vent en poupe.

Ces rencontres « dans la vraie vie » se concrétisent en tête à tête autour d’un petit café ou d’un verre, éventuellement, d’un dîner. Malheureusement, au contact du réel, la magie du virtuel fond comme neige au soleil. C’est le choc de la première rencontre, la confrontation brutale à la réalité. On découvre l’autre sans artifices. Son double virtuel, modelé par notre imagination au fil de longues discussions, vole en éclats. La déception éprouvée est inéluctable, et surtout, proportionnelle à l’attente.

Pour parer à ce problème, il suffit tout simplement de reproduire un dispositif existant qui a fait ses preuves : la sortie entre ami(e)s. De nombreux couples se sont rencontrés ainsi pour la première fois, au cours d’un dîner ou d’une sortie, un moment convivial et détendu propice aux échanges et à la séduction. C’est justement ce cocon qu’il faut simuler en réunissant, autour d’une activité prétexte, quelques personnes et laisser la magie opérer.

Passer à la vitesse supérieure et, surtout, ne pas idéaliser les célibataires de 30 ans. Assez acariâtre, elle vit, en général, dans un studio de 15 m2, sans machine à laver, ni cuisinière ; elle ne sait pas cuisiner la plupart du temps. Elle se comporte comme un mec en pire. Elle fume comme un pompier, a une sexualité débridée, enfin dit-elle, mais nous savons que sa mauvaise humeur est la concrétisation de comme 'la mal bouffe', c'est 'la mal baise', ou pas du tout.

Grossière à table, elle est couverte de maquillage et d’artifice qui vous font fuir le lendemain matin. Bref, la femme, d’aujourd’hui, n’est plus un "Must", et je pense sincèrement changer de sexualité, car quitte à avoir un mec en face de moi, mieux vaut que cela soit un vrai ? Qu'en pensez-vous ?



jeudi 26 juin 2014

FINE FLEUR DU LUXE

On les appelle la fine fleur du luxe Français. En réalité, le Figaro ne sait pas qu'ils sont surtout la fine fleur des fossoyeurs du luxe de l'hexagone.

Ces dirigeants de Maisons de Luxe viennent seulement de se rendre compte que ceux qui font la renommée des  marques de luxe sont d'abord leurs sous-traitants. Si nous prenons l'exemple du parfum, nous nous apercevons que les marques parfumeurs ne créent rien, mais, ils assemblent comme un mécano l'ensemble des produits que des fournisseurs ont mis à leur disposition.

La seule chose que la marque fait, c'est d'utiliser des services marketing, qui sont là pour augmenter le prix des parfums par 400 %, mais surtout, pour soi-disant déterminer les tendances. Toutefois, avec un succès tous les 50 ans, pour faire un parfum qui dure, on ne peut pas dire que cela soit vraiment des génies.

Bref, Monsieur Estrosi a une très bonne idée, mais les acteurs, avec qui il parle, sont certainement responsables de la fermeture de milliers d'entreprises en France. D'ailleurs, cet accord n'a pas été signé par Agnès Troublé, la Présidente d'Agnès B, qui a refusé de le ratifier car elle pense que les donneurs d'ordres du prêt-à-porter ne sont plus à sauver en France puisqu'ils sont en voie de disparition. 

Charmante cacophonie ! En réalité, elle a raison. Cette filière n'existe plus en France, et c'est pour cela que l'ensemble des marques françaises se fournit à l'étranger aggravant un peu plus l'emploi dans ce secteur. Il serait plus intelligent de soutenir le "made in France" afin de mieux exporter à l'international. Mais, la fine fleur du luxe a visiblement tendance à faire de l’auto-satisfaction, pour que leur propre personne soit mise en avant, plutôt que de trouver une vraie solution pour sauver l'industrie française.

Alors, je sais ce qu'ils vont me dire !!! Mais, nous LVMH, nous Hermès, nous Lanvin, nous Saint-Laurent, nous Dior, ... nous créons beaucoup d'emplois en France. En réalité, Messieurs, vous n'apportez personnellement aucun emploi car vous n'êtes que des gestionnaires.

Par contre, la marque Chanel, la marque Dior, la marque Hermès... créent des emplois en France. Vous, vous n'êtes que des employés, et la seule incidence que vous avez sur les fournisseurs, c’est de les tuer petit à petit, car pour réaliser un objet d’art pour vos clients, celui-ci doit être irréprochable, mais comme vous souhaitez gagner le maximum d’argent sur le dos de votre fournisseur, vous devenez des machines à mutiplier les marges. Comprenez-vous qu’il faut 30 ans pour faire un bon cristallier et, plus encore, pour d’autres métiers d'Art. Si vous voulez une idée, faites un protocole d’accord avec vos fournisseurs pour leur garantir des marges et un flux de commandes suffisants au cours de l’année mais, aussi, limitez vos marges à un coef de 2, afin de reverser l’excédent dans un fond pour aider les artisans en difficulté. Ne serait-ce pas la solution quand on y réfléchit !!!

Enfin, dans les acteurs du luxe, le groupe Richemont a cette stratégie avec ses fournisseurs depuis plus de 20 ans. Avez-vous vraiment inventé un charte de bonne conduite ? 

mercredi 25 juin 2014

MARY GOODNIGHT

Mary Goodnight, j'aurais plutôt dit Mary Goodday. 

L'été arrive et, si vous cherchez une terrasse à Paris, cela me semble pratiquement impossible mais, si vous poussez jusqu'à la porte d'Auteuil, avec une voiture et un valet parking à l'arrivée, il est probable que vous ayez un dîner des plus agréables sur une terrasse en hauteur avec une nouriture type Thaï, nouvelle cuisine. En realité, je n'y connais rien à cette cuisine mais, j'ai véritablement apprecié la prestation simple et efficace.

Comme la personne, avec qui je venais, était en retard, je me suis assis au bar juste devant le planning de réservation. Ce midi-là étaient présents Mme Bolloré, Julie de Canal-Plus, Paul Dubrûle, de La Morandière et la belle fille de Mr. Arnault, parmi les clients les plus connus. Pendant que j'attendais, j'ai donc assisté à ce petit manège du Directeur Général qui s'est assuré que les personnes n'attendent pas plus de 15 secondes à l'entrée qu'elles aient réservées ou pas. Ce qui est rare à Paris mais il est vrai que nous sommes juste à la frontière.

Enfin, la musique étant trop forte, nous avons demandé s'il était possible de la baisser ce qui fut fait immédiatement. Nous sommes loin de ces cafés "Costes" qui vous imposent leur vision et qui ont oublié qui sont leurs clients et, moi, j'aime que l'on me traite comme un client. Tsé,Tsé.

Formule midi à 27€
Formule enfant à 15€
Tous les dimanches, brunch à 39€

Venez le soir pour trouver un endroit frais l'été et romantique - A ne pas manquer.

Mary Goodnight - 78, rue d'Auteuil - 75016 Paris 

mardi 24 juin 2014

ATTACHEZ VOTRE CEINTURE

Dans les années 20, les ceintures faisaient surtout référence à l’armée. En effet, cette «sangle» était missionnée pour affiner la silhouette des hommes et donner une apparence plus musclée aux militaires ; gage de force et de sécurité. Comme bien d’autres accessoires, la ceinture a elle aussi évolué, détrônant la bretelle et sortant vainqueur du bataillon stylistique.

Cependant, pour bien choisir et porter sa ceinture, il n’y pas de place au hasard. Tout comme une guerre se prépare, il faut également méticuleusement penser aux détails et échafauder son plan. C’est pourquoi, au delà des armes (cuirs, tissus, matières…), il faut réfléchir stratégiquement à l’alliance à mettre en place et composer avec les alliés (chaussures, bijoux, costumes…).

Ainsi, pour éviter toute faute de goût, ne mélangez pas les cuirs. A savoir, n’associez pas une chaussure noire à une ceinture marron car, pour le coup, c’est la défaite assurée. Cependant, n’hésitez pas à nuancer pour un style plus habillé en optant pour une teinte légèrement plus foncée. Le caporal Costume ne pourra pas vous en vouloir d’avoir osé un excès de zèle face au général Ceinturon.

lundi 23 juin 2014

TO CHIC GENTLEMEN

Les gentlemen, Blandin & Delloye est une marque qui a pour cœur de métier la confection de chemises, de manteaux et surtout de costumes demi-mesures. Cependant, la marque ne se réduit pas à cela puisqu’elle propose également des accessoires comme des boutons de manchette ou encore des cravates.

La qualité est le maître mot puisque le partenaire sollicité par la marque confectionne également pour les grandes Maisons depuis plus de 30 ans. Les costumes et autres vêtements sont donc fabriqués par un personnel hautement qualifié.

Vous l’aurez compris les produits proposés par Blandin & Delloye se veulent traditionnel de par leur confection mais également moderne de par leur design et de par les différents matériaux utilisés. La première source d’inspiration de la marque, c'est vous ! 

dimanche 22 juin 2014

DES PEPITES DE STARS

Beaucoup d'étudiants en quête d'un métier créatif, valorisant et un peu « show-off » se tournent vers le secteur de la mode. Les études pour accéder à un poste de stylisme sont souvent longues, onéreuses et les débouchés restreints. C'est pour cela que la France est réputée dans le monde entier. Mais, nul besoin de faire une école de stylisme pour être créatif. 

Les nouvelles tendances en « business school » rivalisent en projets originaux, dans les secteurs du luxe et de la mode, afin de faire émerger cette « créativité » tant recherchée. C’est le cas d’ISEFAC Bachelor Paris qui forme sur trois ans des jeunes tout juste sortis du baccalauréat. Dans le cadre de leur cours d’initiation à la mode, les étudiants en deuxième année avaient à créer une marque de mode de A à Z, mêlant stratégie marketing et originalité, puis à présenter un défilé devant un jury de professionnels. Alors, de temps en temps, afin de ne pas être déconnecté de la réalité, nous faisons partie de ces jurys qui viennent apprécier le travail de ces élèves. Véritablement, nous sommes toujours très surpris. 

C'est incroyable comme il peut y avoir un éventail de talents allant du plus effacé au plus doué ; de ceux qui composent un univers à partir de leurs propres dressings à ceux faisant appel à un styliste en formation, comme Geoffrey Mingot. Rencontre à suivre dans nos prochaines pages.

Sans faire de généralité, nous pouvons remarquer que les moins talentueux s'avèrent très souvent être des fils et filles de familles aisées, dont les parents ont les moyens de financer les écoles pour assurer, à terme, un travail à leur progéniture.

Par contre, les plus talentueux, les pépites, sont souvent issus de milieux dont les parents triment pour payer les études et qui ont des difficultés à vivre dans Paris intra-muros. On le sait pour réussir dans ce domaine, il faut du talent, certes, mais aussi la bonne formation et le bon diplôme. Les écoles de luxe, design, stylisme et mode l'ont bien compris, et face à une demande croissante, beaucoup ont vu le jour ces dernières années.

Chaque jour, dans notre pays, nous formons des centaines d'élèves qui seront amenés à piloter les plus grandes maisons françaises du luxe. Chaque jour, des milliers d'étrangers viennent à Paris pour venir apprendre le concept de marque, et la quintessence de ce que la France peut donner de meilleur ; « La French Touch ».

Et, Paris a en son sein une école, une pépite dont voici les réalisations. Vous voilà prévenu.

J. Peluso. FM


jeudi 19 juin 2014

LANSÖM JULIE

Julie Lansöm fait des lampes avec ses mains. Photographe depuis des années et créatrice d’objets de décoration artisanale depuis 2013. Cette artiste polyvalente balade ses envies entre son appareil et son atelier.

Installée à Paris mais née dans le Sud, il y a un peu plus de 25 ans, Julie garde un amour immodéré de la nature, qui se retrouve dans son esthétique. L’importance des couleurs, la passion des matières, l’authenticité de la démarche et un soupçon de nostalgie. Sputnik était le nom donné aux premiers satellites russes envoyés dans l’espace dans les années 1960, dont les lignes s’apparentaient à celles des soucoupes volantes et des ovnis.

Les lampes Sputnik s’inspirent de l’esprit rétro-futuriste de ces engins tous droits sortis d’ouvrages de science-fiction et, plus généralement, de l’esthétique graphique des années 1960 et 1970. Elles matérialisent un cheminement artistique débuté par la jeune artiste à travers la photographie. Chacune de ses lampes cristallise sa sensibilité, son sens des formes et des couleurs, soit un condensé de son univers.

De la découpe au tissage, en passant par le montage, tout dans ces luminaires est fait à Paris de manière artisanale. Chaque lampe est un modèle unique, une pièce d’art, fruit du travail minutieux et passionné de la jeune créatrice. La structure est en bois peint et les fils en coton ou en laine de qualité supérieure.

Quelques exemplaires sont prêt-à-vendre, mais la créatrice fonctionne sur commande. Il est possible de choisir :
- sa structure (parmi les modèles proposés)
- la couleur de la structure
- la gamme de couleur du tissage.

Le champ des possibles est infini et les prix dépendent de la formule choisie (à partir de 250€ pour les petites lampes de chevet).

www.julielansom.com
julie.lansom@gmail.com
tél: +33 (0)6 29 17 02 93

mercredi 18 juin 2014

HAUTE COUTURE ONE MORE TIME

La Chambre Syndicale, qui choisit ses adhérents en fonction de leurs chiffres d'affaire et de leurs amis, choisit aussi les journalistes accrédités en fonction non pas de leur audience mais de leur allégeance. Les cireurs de pompe sont de sortie. Bienvenu chez les florentins marseillais.

Les hommes du conseil sont responsables de cet état de fait : du départ à l'étranger des entreprises françaises et des créateurs car ils ne trouvant pas en France ni dans les institutions les fonds nécessaires pour défendre leurs créations et développer leurs affaires.

La mutation du business de la mode a fait qu'aujourd'hui seuls les riches peuvent exister. Donc les groupes... Car, malheureusement, les groupes ne font pas un travail de mentor mais un travail d'ogre. Ils absorbent ceux qui arrivent à percer mais n'aident pas à développer les autres.

On en parle assez souvent et le phénomène prend de plus en plus d’ampleur à chaque Fashion Week. La mode se vit de plus en plus sur les réseaux et sur Internet. Il y a les comptes Instagram des people et des mannequins à suivre – Cara Delevingne en tête avec ses 4 millions de followers et Canal-Luxe, ses 12 millions de visiteurs – mais aussi des comptes Twitter, des comptes Pinterest et des millions de discussions par iMessages entre gens de la mode. Par contre, toujours rien sur le Monsieur Mode, ni d’ailleurs sur la Chambre Syndicale, qui, au grand moment du numérique, a trouvé une idée de génie : sortir  un 4 pages gratuit en papier qui tire à 20 000 examplaires. Whaoooo!!!!

Nul doute que devant l’engouement de la planète mode, les réseaux sociaux, aujourd’hui, deviennent un nouveau groupe de pression où les marques ont à perdre en laissant les bloggeurs influencer la planète. Décidement, vous ne comprenez rien. Invitr les clientes, je suis d'accord mais organiser un mur pour refuser les bloggeurs est stupide. Vous vous privez de milliards d'articles sur vos couturiers. Ce bon sense semble bien au dessus de votre intelligence. Continuez, en effet, à publier un quatre pages papier à 5000 exemplaires pour favoriser la société de votre copine au chômage.

Pourtant, Monsieur Mode, votre mission est simple et, ne consiste pas à faire une diarrhée verbale. Vous devez impérativement garder vos marques en France et empêcher celles-ci de partir à l’étranger. Vous devez les aider à se développer pour le rayonnement de la France dans le monde. Voyez grand, soyez positif et arrêtez d’afficher votre satisfecit.Fédération française de la Couture, du Prêt-à-porter 

Anonymode.

mardi 17 juin 2014

KERING BOOSTS QEELIN

Qeelin, fondée par un duo franco-chinois, filiale du groupe de luxe Kering, passe la surmultipliée pour son développement en Asie en réalisant sa première collection de haute joaillerie.

‘La maison-mère vient de nous donner les moyens de développer la haute joaillerie’ a expliqué Guillaume Brochard et partenaire du designer chinois, Dennis Chan.

Propriétaire de Gucci, Boucheron et Pomellato, Kering a acquis une part majoritaire dans Qeelin fin 2012 et a ainsi enrichi son portefeuille d'une première marque asiatique. 

Qeelin revendique un positionnement plus à la Hermès. "Le nom de Qeelin vient d'un animal de la mythologie chinoise, symbole d'amour". Les pandas Hermès, le cheval Qeelin 'It's make sense.'

Pour crédibiliser la marque, Kering a fait le choix de venir dans la haute joaillerie. Fin 2012, Queelin réalisait moins de 30 millions d'euros lors de son rachat par Kering. Depuis, elle connaît "une croissance à deux chiffres". La marque a ouvert 21 magasins, dont un à Paris et un à Londres.

Les montres joaillières, vendues entre 15.000 et un million d'euros environ, sont fabriquées par un atelier de Genève, voire peut-être un atelier de Cartier ? Dans la boutique parisienne de la marque située au Palais Royal est exposée une bague en forme de nénuphar en diamants qui s'ouvre lorsqu'on actionne un mécanisme et dévoile un rubis en son cœur. Quelle sophistication !!! Mais, personne n’est parfait. Nous avons visité la boutique au Palais Royal et, à vrai dire, il faut vraiment revoir votre accueil.

lundi 16 juin 2014

PROENZA SCHOULER

Lors de la présentation des collections croisières 2015, la marque américaine Proenza Schouler a fait sensation. C’est à cette occasion qu’elle a dévoilé une partie des modèles de sa première ligne de maillots de bain, qui s’annonce prometteuse.
Allant du bikini au une pièce en passant par les paréos, les créateurs Lazaro Hernandez et Jack McCollough proposent une collection d’une vingtaine de modèles aux inspirations variées.  Se confiant il y a peu au magazine américain Women Wear Daily, les deux hommes ont révélé avoir toujours été influencés par l’océan et par la culture surf. Ainsi, une partie de la collection se pare de couleurs acidulées et pops. Pour le reste, blanc, noir et imprimés de précédentes collections sont de rigueur. Ne laissant donc pas de côté les adaptes de la marque.

Mais il faudra être patient(e), cette ligne, réalisée par la manufacture américaine Swimwear Anywhere Inc., ne sera disponible qu’à partir d’octobre prochain.
Véritable ouragan, Proenza Schouler a su, en quelques années, s’imposer comme une des marques les plus influentes et les plus attendues de la semaine de la mode new-yorkaise. Ses créateurs ont d’ailleurs remporté à trois reprises (2007,2011 et 2013), le prestigieux prix du meilleur créateur de prêt-à-porter féminin décerné lors des CFDA Awards.

dimanche 15 juin 2014

SERGE DE NÎMES

Denim fondé en 1991 par Alessandro Marchesi à Serra De' Conti, petite ville située entre les Marches et les Abruzzes, vient d’ouvrir son tout premier magasin monomarque, et a choisi Paris au 36 rue Etienne Marcel, occupé auparavant par Pinko.

Dans ce quartier Parisien, il y a une super ambiance. Situés non loin de Replay, Diesel, et autres Kiliwatch, nous ne pouvions trouver mieux ! Cet emplacement reflète idéalement nos marques déclare le patron à "modeaparis". 

L’entreprise, qui réalise un chiffre d'affaire de 6 à 7 millions d'euros par an, a été pionnière dans les traitements du Denim et les lavages. Le Denim, contraction de « de Nîmes » est une toile de coton à armure de serge. C'est le tissu utilisé notamment pour la confection des jeans.

La marque travaille pour de grandes marques, telles Dolce & Gabbana et Edwin, tout en accompagnant le développement des collections de jeans d'un certain nombre d'entreprises italiennes comme Liu Jo et Patrizia Pepe. 

La boutique parisienne est sur deux étages avec une superficie d'environ 80 m2. Elle a choisi comme enseigne le nom des deux marques principales de la Compagnia del denim: 2W2M et Memory’s Ltd.

"Les pantalons sont vendus à partir de 200 euros. C'est un produit moyen-haut de gamme positionné dans de belles boutiques. Il est distribué via 360 clients multimarques en Italie, mais aussi à Moscou, en Allemagne et en Suède. Une grande partie de la production est faite à la main, et tout est produit dans les Marches" (commune française située dans le département de la Savoie, en région Rhône-Alpes)

jeudi 12 juin 2014

DES ECOLOS RADICAUX

Vendredi soir, dans une rue de Paris, une camionnette blanche ralentit à la hauteur d'une jeune fille blonde habillée d’un superbe manteau de Daim. Au passage de la cammionette, elle se voit embarquer dans celle-ci. Les agresseurs la déshabillent et la couvrent de peinture, lui criant des propos anti-tortures qui concernent les animaux, mentionnant et visant les futurs es afficionados de la prochaine Fashion Week à Paris.

Cette dernière relâchée dans les rues de Paris, traumatisée n’a pas porté plainte, mais assure qu'elle ne portera plus de vêtements qui peuvent nuire aux animaux, et retournera chez Zara, qui, d’ailleurs, détruit plutôt les humains que les animaux.

DEMAIN, la radicalisation des écologistes ne sera pas une fiction, mais bien une réalité. Devant les voyous qui dirigent les usines agro- alimentaires, ni les contrôles, ni les amendes ne suffiront à les décourager de nous donner de la mal bouffe, car les profits, toujours plus exponentiels, feront qu'ils n'arrêteront pas. Donc préparons-nous à cette radicalisation.

mercredi 11 juin 2014

COTONNIER UNI 'CLOS HASH COUTURE'

Dans le monde de Didier, rien n’est impossible ! Anne Valérie Hash qui n’avait pas la capacité de faire une collection de Haute Couture, et amie du Président va réintégrer le cercle très ouvert des fabricants de prêt-à-porter anonymes.

On aura tout vu dans cette profession. Autrefois, les gens du prêt-à-porter venaient copier les modèles pour les décliner en manque flagrant d'inspiration. Maintenant, ils achètent carrément les créateurs pour faire réaliser leur collection. Seulement, ils n’ont même pas vu qu'Anne Valérie Hash n’est pas une créatrice de Haute Couture, mais seulement la copine de Didier G.

Le monde de Didier, c’est l’image de notre monde sans référence, sans vergogne et sans droiture. Tout est bon pour dire ou faire une chose qui n’a aucun sens commun, puisque plus personne ne donne de sanction. Un employé qui nous impose sa vison fausse de ce monde toujours plus déliquescent peut le faire en toute impunité car personne n’ose plus protester, et lui il a déjà les emails de félicitations de ses amis pour montrer que sa prestation est très appréciée.

La pertinence d'une créatrice qui n'a même pas été capable de faire tourner sa propre maison, en retournant dans le prêt-à-porter, donne l'image incohérente du système en place. C'est une rupture avec notre histoire, une image truquée, tronquée, mais surtout, manipulée.

Dans la quintessence de la mode et de la Haute Couture, le message que je lis moi ‘la Haute Couture va mourir et vous en êtes le responsable, car d’après vos propres propos concernant Franck Sorbier et Stéphane Rolland, si vous faites de la Haute Couture vous ne serez jamais riche. Remarque stupide car la Haute Couture n’est par une lubie de Franck Sorbier ou de Stéphane Rolland mais une mission de service publique, afin de vendre nos créateurs et ainsi faire rayonner la France dans le Monde par ses tendances. Ce laboratoire géant des tendances doit insuffler les autres créateurs par notre "Fench Touch", et construire l’histoire de notre pays pour le futur.

Aujourd’hui, nous avons les tendances à la Didier : Rien... le vide absolu de l’imaginaire et de la créativité. Bravo Monsieur, votre but est atteint. Après vous le déluge, personne ne vous survivra et votre nom ne tombera pas dans l’oubli. Il sera pour toujours associer au fossoyeur d’un des secteurs de la France le plus envié au monde : la France de la Haute Couture et du Champagne. Anne Valérie Hash avait ouvert une boutique éphémère en 2013. Voici un nouveau concept : la maison éphémère en 2014.


mardi 10 juin 2014

FASHION WEEK DAY


J’ouvre une paupière. Il fait jour. Je n’ai pas entendu mon réveil ! Vite, je m’éjecte du lit, direction la douche. Devant mon dressing, c'est l'éternel dilemme : jean, pantalon ou veste ? J’opte pour une tenue bobo & Fashion.  Après un café rapide, je file pour le premier show.

Le métro est bondé. Je retourne chercher mon vélo, et je supprime la salle de gym de ce soir. De toute façon, pas le temps car le dernier show est à 21H00; bonjour la vie de famille. Mail de Franck: « Alexandra est furax, on lui a fauché son Mac avec une couverture Apple exclusive. Pensez à lui dire qu’elle l'a peut-être laissée au vestiaire…"

J’ai faim, pas le temps. J’arrive chez Alexis dans ce hall frigorifié, assis à coté de la fille de TF1 . Bien la collection mais il y a mieux "Devastée" cette saison; prometteur ces 2 jeunes. A la sortie, je repars ventre à terre pour la suite.

Après quelques shows et lunch au bistrot du coin, le serveur soupire quand je lui annonce qu'une omelette fera l’affaire. Oui, je suis au régime. Une touriste s’extasie sur mon cabas en cuir : « Mais non, je ne vous le vendrai pas Madame !!! »

Méga réunion en mode boudeuse, je maîtrise les dossiers mais je suis crevée. Après, la dir-com  (17 ans) Dgena, la French Tavi, avec son blog Parisianwear.com, me demande où elle peut trouver la robe cache-cœur que portait mon assitante lors de la dernière réunion !!!. Et toi, tu te souviens de ton dernier flirt dans les années 1940 !!!!

Passage à la maison, à peine le temps de me changer et de me rafraîchir, je mise sur le sobre. Quelques cocktails au Cointreau au Bristol pour entendre notre Président, Monsieur  Grumbach, déconner à plein tube, (Non, je rigole) toujours très pertinent !!!.  Me Voilà de retour à la maison, il est 23H00. Demain, départ en vélo pour  Balengiaga et Carven. Une journée ordinaire de la dernière Fashion Week.

lundi 9 juin 2014

FRANCK SORBIER

La notion de doute du créateur prend un sens différent selon le stade d'élaboration de l'œuvre et l'angle sous lequel on l'examine. Le doute peut-être récurrent sur sa propre capacité à créer un niveau d'exigence souhaité, le doute sur la cohérence et la pertinence du travail en cours, le doute sur la qualité de l'œuvre lorsqu'elle est achevée, le doute sur son originalité, sur son degré d'impact et sur sa capacité à plaire.

Pour appréhender une œuvre nouvelle, chacun dispose de ses propres équations. Mais, tous sont confrontés au doute fondamental et à la fameuse angoisse de la page blanche . Le doute du créateur commence par la tentative de se convaincre lui-même de la nécessité de l'œuvre qu'il est sur le point d’entreprendre.

L'inspiration naîtrait-elle du doute, ou d'un labeur quotidien qui nous la ferait imaginer comme un muscle devant continuellement s'entraîner sous peine de rouiller ? Probablement des deux.

La pression des groupes et des enjeux dans la couture font douter en permanence, mais surtout, la régularité des collections à produire impose un rythme qui fait que seuls les grands peuvent le soutenir. Etre inspiré,  c’est le "Spiritus" en Latin, soit «le Souffle divin». C'est aussi savoir se rendre disponible aux énergies qui nous entourent.

C'est  la confrontation entre la fragilité de son désir et la force de sa technique, elle-même adossée à la sécurité d'un savoir, et seul Franck Sorbier à ce Talent en s'obligeant, par son travail, à aller chercher au fond de lui-même ce qu'il a de plus fort et de plus sacré. Le couturier se retrouve dans un état permanent d'introspection qui lui fait prendre de la distance avec toutes les certitudes établies.

Ces moments tous particulier, le fragilisent. Il navigue entre ce qu'il pensent être comme indispensable et ce qui constitue le socle de sa collection et la crainte de déplaire pas la non compréhension de son oeuvre.  Découvrez l'univers et le talent d'un grand Couturier et Maître d'Art en assistant à une présentation de Haute Couture Sorbier ...

Devenez membre et prenez votre place pour la présentation Haute Couture Sorbier Hiver 2014-2015 www.fondsdedotationsorbier.com ...

dimanche 8 juin 2014

MANNEQUIN CABINE

Le mot "mannequin" désignait un buste en osier au XIXème siècle. Plusieurs bustes, de toutes les époques, sont d'ailleurs exposés à Paris au Musée Galliera.

Les plus anciens mannequins remontent à 1875. On y voit des couturières et des vendeuses portant les vêtements des maisons pour lesquelles elles travaillent. Pas de séduction dans ces clichés : les mannequins professionnels apparaissent plus tard, au début du XXème siècle. On les appelle, d'ailleurs, Mannequins Cabines.

Ils sont alors mal perçus car demie mondaine, elle font le bonheur des maris qui viennent pour les harceler, de leur avance. A l'école, on disait poursuivre de leur assiduité.

A l'opposé, à la fin du siècle, les Claudia et autres Naomi, stars absolues, ont le droit à des poupées à leur effigie. La starisation des mannequins font que les robes viennent à passer au second plan. De nos jours, le retour au mannequin traditionnel, mais l'émergeance des vagues successives de filles blondes venant de l'Est, vient aujourd'hui normaliser un marché qui en avait besoin.

jeudi 5 juin 2014

SEULEMENT 1.5 MILLIARD !!!!

Le groupe Suisse Dufry spécialisé dans la distribution hors taxes dans les aéroports, va débourser 1,55 milliard de francs suisses (1,2 milliard d'euros) pour s'emparer de son concurrent zurichois Nuance Group.

L'opération va permettre au groupe de faire grimper à 15% sa part de marché dans la distribution aéroportuaire avec quelque 1.750 points de vente répartis sur cinq continents dans 239 aéroports une fois les deux entités associées.

Dufry, qui rivalise notamment avec DFS, propriété du groupe de luxe français LVMH, a précisé que le portefeuille d'activité de Nuance Group allait lui permettre de se renforcer en Méditerranée, en Europe Centrale et du Nord ainsi qu'aux États-Unis et au Canada.

Un peu d’histoire, en son temps quand Bernard Arnault a acheté DFC (Duty Free Shopper) pour 200 millions de francs, tout le monde avait pensé qu'il était mégalomane, en réalité, les DFS faisait 60% de leurs ventes sur les produit mis en avant. Il a simplement rentré ses marques de parfums et les a mis en avant, pour en retirer un bénéfice substantiel, ce qui lui a permis de rembourser cet achat en moins de 5 ans. Un génie ? Non ?

Un acheteur a battu le record pour les achats hors taxes à l'aéroport Charles de Gaulle de Paris par l'achat de près de 50.000 euros pour six bouteilles de vin. 

L'acheteur, qui a été identifié seulement comme "un asiatique", a acheté une bouteille de Romanée Conti 1995, un Château Margaux 2003, deux bouteilles de Château Lafitte 1982 et deux bouteilles de Petrus 1980, d'une valeur totale de € 49 905 ($ 66 000).  L'aéroport n'a pas dit quand les achats ont été faits, mais a noté que les vins de haute qualité "se vendent mieux à la fin de l'année". 1,5 milliard ce qui n'est pas cher si vous divisez ce prix par le prix moyen d'un panier par client soit 33 000 clients pour rembourser l'investissement.

mercredi 4 juin 2014

SOTHYS PRODUITS DE MAS

Depuis 1966,  la passion de la famille Mas anime et fait vivre l’âme de la marque Sothys. C'est aujourd'hui la troisième génération de la famille, les frères Christian et Frédéric, qui tiennent les rênes de l'entreprise. Sothys est une success-story indépendante qui détonne dans une secteur où résistent surtout les groupes adossés aux puissants fonds de pension.

Le siège administratif, les laboratoires et le site de production sont toujours implantés à Brive-la-Gaillarde au coeur de la Corrèze, tandis qu’à Paris la prestigieuse adresse du Faubourg Saint-Honoré tient lieu depuis l’origine d’Institut vitrine.
La dynamique de l’entreprise Sothys repose sur sa capacité à rester elle-même tout en apportant des solutions nouvelles dans le monde changeant de la beauté.

Dans les années 70, Sothys fut parmi les premières à proposer en institut un lifting esthétique, sans méthode invasive, via des produits au collagène. Au début des années 90, elle est un des pionniers qui remplacent les composants animaux de leurs cosmétiques par des sources végétales, puis plus tard suppriment progressivement les parabens (conservateurs) de ses produits. Dans les années 2000 en proposant une gamme de cosmétiques comestibles au chocolat.

mardi 3 juin 2014

LONGCHAMP ELYSEE

Longchamp ouvre un nouveau flagship sur les Champs Élysées. Le bâtiment sur plusieurs étages, occupera 500 m² sur la plus belle avenue du monde. Venant ainsi renforcer le pool de marques de luxe autour de Louis Vuitton, Longchamp s'accorde après Londres une légitimité dans le luxe.
Jean Casgrain n'oubliera certainement pas de nous inviter pour l'inauguration en novembre 2014. La marque, qui aujourd'hui a un chiffre d'affaire de 462 millions d'euros doit avec ce nouveau magasin franchir la barre des 500 millions d'euros cette année.

La marque au cheval de course passe du Trot au Galop, en possèdant aujourd'hui 275 boutiques dans le monde dont 69 en France. Détenue par la même famille depuis sa fondation en 1948, le grand-père de Jean Casgrain reste incontestablement un visionnaire pour la marque.

Bienvenu à Longchamp Élysée.



lundi 2 juin 2014

FORD, TENNIS DE LUXE

Tom Ford, le styliste américain, a décidé de se lancer dans la basket de luxe. Alors qu’il faisait part de ses doutes et de ses craintes concernant l’industrie de la mode il y a quelques semaines en affirmant sur un site internet de Mode (Canal-luxe.org) "Aujourd’hui, la mode n'est plus le même business que lorsque j’ai commencé". 

Le célèbre couturier a tenu à apporter le même soin à ses baskets qu’à ses autres créations ! Il nous dévoilera donc une série de chaussures faites-main en Italie.  Le cuir utilisé pour les chaussures sera travaillé manuellement pendant une semaine avant d’être laissé "au repos" pendant 10 jours, rien que ça ! Tel que le boeuf de kobé ?  La vache sera massée et au repos pendant plusieurs jours, avant d'être tuée et utiliseée pour la fabrication, Vraiment, il ne faut pas prendre les gens pour des touristes !!!
Mais, si le monde de la mode a changé, lui aussi, car prendre ses futures clients pour des imbéciles, est ce vraiment acceptable !

Qui dit "Luxe", dit aussi, prix élevés… Il faudra, en effet, compter 500 euros au minimum pour les modèles en velours Alcantara et 725€ pour une paire en cuir ! 

dimanche 1 juin 2014

WINTOUR, HOMELESS IN PARIS

Anna Wintour et Vogue boycotteront, désormais, "Le Meurice" à Paris. En effet, le palace est membre de la chaîne d’hôtels de luxe "The Dorchester Collection" qui n’est autre que la propriété du Sultan de Brunei. Le courroux d’Anna Wintour est motivée par les lois homophobes promulguées par le souverain relevant plus des délires de crétins et  d'un psychopathe de haute volée.

L’ensemble du groupe Condé Nast a donc décidé de ne plus parler de la chaîne d’hôtels en question et de ne plus accepter les budgets publicitaires émanant de celle-ci. 

En réalité, le groupe qui n'est, quand même pas lui-même, un monstre politiquement correcte, n'a pas de contrats publicitaires avec la chaîne d'hôtels. Il faut noter aussi que la destruction des forêts Américaines et Amazoniennes font du groupe un pollueur non payeur, pour informer de futilité les femmes suprariches de la planète.

Ne vous méprenez pas sur mes propos. Loin s'en faut l'idée de légitimer le Sultan du Brunei plus ibécile que dictateur, mais j'aurai préféré que des gens, beaucoup plus au dessus de tout soupçon, prennent partie pour cette cause et soient moins impliqués politiquement (lire article dans Canal-Luxe sur les journaux de mode et la relation entretenue avec Mr Poutine). Si Monsieur Pinault souhaite retirer ses boutiques de l'ensemble du Bruneï, nous le féliciterons.