dimanche 4 mai 2014

MODEAPARIS BRAQUAGE

C’est l’histoire d’une malversation de mode, qui fait partie aujourd’hui de cette petite délinquance en col blanc, que je déteste. Escroquerie en bande organisée, pour vous déposséder d’un  domaine en point «.org » légitimement acquis.
Nous les appellerons Monsieur Didier G. et Madame Sylvie Z. pour conserver leur identité. Le nom de domaine « modeaparis.org » n’avait pas été déposé à l’INPI. Un nom de domaine n'a rien à voir (au sens juridique) avec la raison sociale d'une société.
Un nom de domaine, pour des raisons essentiellement techniques, est une adresse unique pour l'ensemble du monde (unicité internationale), ce qui confère à son propriétaire une exclusivité mondiale tant que celle-ci est utilisée ou exploitée de manière régulière. C’est la règle du « Premier arrivé, premier servi ».
Cela étant dit, une protection dite "technique" peut être renforcée par son enregistrement auprès d'un organisme spécialisé (par exemple l'AFNIC, l'Eurid, Internic etc.) et auprès de l'INPI sous la forme d'une marque. 
L’organisation, qui s’est arrogée le droit, par l’intermédiaire de la Secrétaire générale, Sylvie Z., nous fait savoir qu’elle souhaite récupérer le nom de domaine « modeaparis.org » qui nous appartenait et que nous exploitions. Tout cela à cause d’une journaliste qui n’avait pas apprécié un article contre elle sur un de nos blogs. On souhaitait, tout simplement, nous museler pour des convenances personnelles.
Sans jamais avoir déposé le nom de domaine à l’INPI, Madame Sylvie Z. nous menace et  tente de nous intimider par lettres d’avocat, pour récupérer le nom de domaine en toute illégalité : morale et juridique.
Pire encore, voyant son erreur, cette dernière fait une demande  auprès de l’INPI pour déposer en catastrophe la marque, mais trop tard car nous avions l’antériorité.
Nous négocions simplement notre accréditation. Rien de vraiment anormal pour l’époque puisque le blog fait plus d’audience que « Garance Dorée », mais certes, plus polémique.
On nous répond, sans nous demander ladite audience, que les petits Blogs ne sont pas admis !!!! Alors que certaines journalistes, qui  sont accréditées par le même organisme, ne sont même pas journalistes’.
Bref, n’importe quoi. Ma femme me dit : « c’est pour cela que je t’aime car tu es un seigneur. Ne te commet pas avec ces ignorants. L’histoire te donnera toujours raison d’avoir un comportement comme ton père. »
Fin de l’histoire, nous leur donnons gratuitement le domaine. Deux ans plus tard, nous nous apercevons que les salariés de l’organisme concerné n’ont pas fait le renouvellement, et qu’aujourd’hui le domaine appartient à un Américain. Quelle incompétence !
La morale de l’histoire est que la collusion entre les journalistes de mode et ladite organisation peut-être considérée comme un abus de position dominante (c’est une infraction prévue par le droit de la concurrence).
Nous savons que vous refusez toujours de nous accréditer et que véritablement se priver de la force d’un groupe d’influenceurs international comprenant 13 blogs et une audience de plus de 12 millions de personnes dans le monde au moment où il y a une mondialisation de la mode est plus qu’une erreur, c’ est une faute.
 Mais, nous pensons que vous êtes trop éloigné de ce nouveau monde pour le comprendre. Dommage pour tous les couturiers que vous représentez que vous privez de la notoriété d’un groupe puissant.
Anonymode.

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