Franck Sorbier dans un spécial St-Valentin brocardé par une pseudo-journaliste plus animatrice de téléréalité, Elisabeth Bost, ex-femme de Jean-Luc Delarue, a eu la chance de rencontrer le maître Sorbier. Elle publie une vidéo sur sa collection, habillée en chat. Elle nous montre le peu de culture des journalistes de TF1.
Alors, Madame, voici ma vision sur votre reportage : Vous n'avez même pas été capable de tirer la quintessence de votre rencontre avec un artiste exceptionnel, aussi grand que les plus grands impressionnistes. Vous venez à la cohorte des ignares qui n’ont rien compris aux artistes peintres en leur temps.
Vos valeurs sont certainement tronquées par la vision de votre ex-mari, ancien cocaïnomane que toute la presse nous a fait passé pour un saint et un homme extraordinaire, quel exemple pour nos enfants !
Le procès que vous avez actuellement avec son ex-épouse est à l’image du reportage : vil et ignoble. C'est véritablement sordide et honteux vis-à-vis du défunt, et c'est probablement pour cela que vous avez une vision d'une profession, qui pour vous, est volage, et dont vous ne comprenez aucun des codes.
Sachez, Madame, que cette profession de la mode et du luxe constituent un secteur économique majeur pour l’économie Française. Ils contribuent au rayonnement de l’image de la France dans le monde, tout en ayant des effets d’entraînement bénéfiques sur d’autres activités. L’industrie de la mode allie savoir-faire, qualité et créativité des produits qui sont à l’origine du renom international de cette industrie.
Le secteur emploie près de 230 000 personnes, pour un chiffre d’affaire d’environ 34 Mds €, soit environ 5% de celui de l’industrie manufacturière. Si vous lisez le curriculum vitae de Madame Menkes, vous comprendrez que votre simple diplôme de journaliste n'a rien à voir avec une vraie connaissance d'un secteur qui génère beaucoup d'argent pour les uns, mais qui restitue du travail pour les autres.
Vous voulez travailler dans la mode ? Alors, il vous faut alors acquérir une vraie connaissance et une vraie culture car s'amuser avec une marque, comme vous le faites dans votre reportage, s'est faire fi de l'ensemble du travail et de l'énergie qu'il faut pour créer son image.
Ceux qui s'amusent avec les marques Françaises, n'ont pas compris qu’une marque : c'est d'abord un patrimoine culturel, et aussi un patrimoine immatériel, et je doute que vous sachiez ce que cela veut dire n’ayant visiblement pas une connaissance du monde du luxe.
Je vous renvoie, Madame, à votre petite vidéo de seulement 400 visites, alors que Franck Sorbier a des vidéos sur Internet de plusieurs millions d'audience. Je vous renvoie donc à votre vidéo qui est l’archétype et la substantifique moëlle de la chaîne pour laquelle vous travaillez. Cette télévision poubelle, dans laquelle vous vous complaisez : culture trash, trahison et coucheries.
Sur votre site internet, il est mentionné : 'le regard à la fois candide et cultivé d’Elisabeth Bost sur un ton léger, drôle et informatif.' J'aurai plutôt dit le degré zéro de la culture de la drôlerie et de la connaissance, mais rien que cette phrase vous définit, et, sans vous connaître. Je vous connais déjà Madame. La trentenaire qui épouse pour réussir, comme les Nabila et autres égéries de notre temps, ferait n'importe quoi pour se faire remarquer pour enfin réussir.
Pour vous « Réussir » veut dire accéder à la notoriété ! Mais, quand vous aurez atteint cette notoriété, j’ai peur de ce que vous allez nous raconter ? La notoriété de Franck Sorbier vous écrase ! Vous voulez travailler dans la mode ? Et bien, ayez, d'abord, avec les créateurs beaucoup d'humilité, regardez et apprenez. Personne dans ce milieu ne s'improvise rédactrice ou rédacteur de mode, même des blogeuses de 13 ans, que je connais, sont plus pertinentes que vous dans leur analyse. Mais, il est vrai qu’elles ont un grand respect du travail des maîtres d’art qui font la réputation de la France et que le monde entier nous envie mais que le petit nombrilisme parisien ne sait voir tant il est imbu de son peu de culture. Elles sont plutôt sympas, et considèrent que faire partie de cette profession est un honneur, pas un pis-aller.
Enfin, lorsque j’ai vu que le réalisateur de cette vidéo ‘Hugo Lopez’, qui est à l’origine du documentaire «Zahia de Z à A » (comme dirait les jeunes d’aujourd’hui : MDR, mais surout, Mort de Honte), d'un reportage qui une fois de plus ne décrit en aucun cas l'univers de la mode. Vous confondez l’industrie de la mode et du luxe avec la téléréalité. Stop aux amalgames. Retournez à la téléréalité et laissez les vrais journalistes de mode, s’il y en a encore quelques-uns, faire leur métier.
FM
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire