Luna rossa ne s'est pas présenté hier pour la première régate de la coupe Louis Vuitton face à l'autre chargeur, Emirates team New Zealand, plongeant un peu plus la coupe de l'America sur le terrain juridique. La compétition de voile la plus prestigieuse et la plus chère du monde faisait déjà face à une étape délicate depuis le chavirage tragique du troisième challengeur, Artémis, qui a couté la vie à l'anglais Barthes Simpson, le 9 mai.
Depuis trois jours, la guerre psychologique l'emporte dans la baie de San Francisco. D'une autre part, Patrizio Bertelli, le patron de Prada et, l'armateur de Luna Rossa, a fait savoir que son catamaran ne salignerait pas tant que jury international n'aurait pas statué sur la réclamation portée par le défi italien.
La coupe qui doit déterminer quel Challenger rencontrera Oracle en septembre pour la coupe de l'America proprement dite, se réduit à peau de chagrin. Quelle pétaudière !
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