Kim Kardachiant qui, avec son corps, cherche non pas le buzz mais la reconnaissance de son propre égo, en réinventant la pin-up des années 50. En copiant systématique de vieilles idées pour faire une page de plus dans les magazines de mode, elle accentue et ridiculise le monde de la mode.
Le côté people des starlettes comme Nabilla ne peut être pour les couturiers une valeur auprès du grand public, car personne n'est dupe, et personne ne pense que Madame X ou Madame Y porte une robe de Haute Couture par plaisir, car souvent les vêtements sont inconfortables et peu pratiques à porter.
Les marques continuent leur opération de désinformation de leur propre profession en parlant de marketing sensoriel, ou autres billevesées de la sorte. Les modeux de la profession sont plus convaincus par leur propre image, que par les marques qu’ils défendent, avec des armes de papier déjà mâché. Malheureusement, les modeurs de moche préfèrent inventer des mots pour se définir, car ils ne trouvent pas leur qualité dans les dictionnaires ne faisant partie d’aucun groupe.
Kim singe la pin-up, Maryline Monroe. C'est une bien une pâle copie de la belle blonde plantureuse femme-enfant qui voulait briller avec les étoiles et les grands de ce monde, pour finalement mourir dans un hôtel borgne de banlieue, les veines pleines de sang pollué par la vindicte populaire, qui regardait ce spectacle avec les yeux de voyeurs invétérés et sans pudeur aucune.
Comme Loulou de La Falaise, égérie de St Laurent, kim Kardachiant aimerait être la muse d'un couturier, mais, aucun designer ne semble intéressé pour cacher son cul et la réhabiller à la mode un krime ma chiante. Image subliminale de Jean Paul Gould, elle se raccroche à tous les génies de la communication pour continuer à tirer ses dernières cartouches. Bientôt, elle n'aura plus de cartouche, et nous lui annonçons un retour dans l'anonymat le plus complet, car Madame Kim vous ne serez jamais personne dans la mode. Cela est une certitude.
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