Le couturier, d’origine Syrienne, nous a présenté sa collection dans un salon privé de l’Hôtel Le Meurice. Nous l’avons déjà évoqué, une des tendances actuelle de la Couture est de revenir aux présentations intimes en positionnant les créations au plus près du public. Inspiré du tableau Ophélie de John Everett Millais, les robes traduisent les codes de la nature : le vert d’eau, les branchages en broderie ou encore le jeu de transparences comme l’eau ondulante.
Bien qu’assez « classique », le travail de Rami Al Ali est précis et excellemment exécuté. Plumes, broderies, plissés et drapés, font revivre une Ophélie sublimée et nostalgique.
En rappelant la tradition de la Haute Couture du début du XXème siècle, Rami Al Ali nous permet de nous remémorer Jeanne Paquin qui fut une des premières à présenter ses modèles portés par des « sosies », en quelque sorte les ancêtres des mannequins.
En rappelant la tradition de la Haute Couture du début du XXème siècle, Rami Al Ali nous permet de nous remémorer Jeanne Paquin qui fut une des premières à présenter ses modèles portés par des « sosies », en quelque sorte les ancêtres des mannequins.
Jérémie Peluso
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