REI KAWAKUBO

Pour moi de créer des choses originales devient de plus en plus difficile. Mais Rei Kawakubo est une visionnaire. Cerveau de la griffe "Comme des Garçons", elle compte parmi les créateurs de mode les plus importants actuellement en exercice. Depuis qu'elle a débarqué de son Japon natal, il y a 20 ans, Rei Kawakubo remet systématiquement en question les idéaux occidentaux sur la forme du corps et la construction du vêtement, sur le sexisme de la société et l'utilisation de la couleur.

Elle a perfectionné l'androgynie avec ses chaussures plates (elle déteste les talons hauts), ses pantalons baggy masculins et ses vestes aux épaules tombantes. Rei Kawakubo a révolutionné la mode. Née en 1942 à Tokyo, elle commence à étudier la littérature à l'Université Keio dans un Japon sous occupation américaine, avant de travailler comme styliste pour le département Publicité d'un fabricant de produits chimiques.

Elle lance la griffe "Comme des Garçons" en 1969. Mais, c'est depuis son scandaleux défilé parisien de 1981 qu'elle est devenue si influente, s'attaquant directement au statu quo du glamour entêté de l'époque.

Ses créations sont souvent étiquetées comme « artistiques » en raison de leur rigueur conceptuelle et intellectuelle, mais cela ne l'a pas empêchée de bâtir l'un des plus grands empires indépendants de la mode, avec plus de 80 boutiques sur le seul territoire du Japon. Son champ d'action inclut l'une des collections de parfums les plus particulières qui soient (lancée en 1994).

Ses boutiques révolutionnaires remettent en question l'architecture d'intérieur et l'expérience d'achat, comme c'est le cas du projet (2002) réalisé avec Caria Sozzani, la boutique-concept 10 Corso Como de Tokyo où sont présentés les résultats de collaborations entre designers.

Son protégé, Junya Watanabe, dessine sa propre collection pour l'écurie "Comme des Garçons". En octobre 2004, les créateurs de "Comme des Garçons" (Adrian Joffe et Rei Kawakubo) ont ouvert un lieu conçu pour abriter les treize lignes de la marque, mais aussi une quarantaine d'autres labels, «invités» à partager leur espace.

Pendant que Monsieur Grumbach prend Bouchra Jarrar à la Chambre Syndicale de la Haute Couture, c'est vraiment à se demander s'il vient de temps en temps à son bureau pour étudier les candidatures potentielles  !!! 

L'EX FAUSSOYEUR DES METIERS D'ART

Chanel, l'ex-faussoyeur des Métiers d'Art, par l'intermédiaire de Karl Lagerfeld a décidé de faire dans la démesure en conviant 900 invités de l'autre côté de l'Atlantique, en plein coeur de la ville de Dallas.

En choisissant Dallas, Karl Lagerfeld rend hommage à la ville où Gabrielle Chanel qui en 1957 a reçu le prix 'Neiman Marcus' récompensant l'ensemble de sa carrière (Gabrielle doit se retourner dans sa tombe d'être glorifiée par un sésame de boutiquière). 

La collection "Métiers d'Art 2014" se révèle être un joyeux pot-pourri des innombrables lieux communs inhérents aux styles texan et amérindien. Il est vrai que du tailleur Chanel revisité en mode Ralph Lauren au make-up Sioux en passant par les looks semblant tout droit sortis du film Django, la collection présentée ce mardi 10 décembre manque parfois légèrement de subtilité. 

Mais, pour des Texans, cela semblait bien assez pour Karl. Chanel honorant les Métiers d'Art après les avoir torpillés pendant des années, et s'apercevant que la maison après avoir fait baisser les prix, (c'est le fameux, c'est trop cher) s'est aperçu que la marque ne pourrait plus faire de Haute Couture par manque de plumassiers et consorts. Alors Chanel s'est mis à racheter ses propres fournisseurs, car la marque avait oublié qu'une marque c'est aussi son patrimoine immatérielle (les hommes qui constituent la marque).

OSSOMATERIA BY HILA KAMINER

Elle s’inspire de la structure des os à l’intérieur du corps pour créer une structure qui ornera « l’extérieur du corps ». Cette dernière met l’accent sur l’esthétique propre avec une touche naturelle, en utilisant des matériaux tels que le bois, le laiton, l’or, l’argent, le tissu d’alpaga, et les pierres précieuses. Ses bijoux artistiques sont portés à la fois par des hommes et des femmes.

Le nom de son projet OSSOMATERIA est dérivé de l’italien, qui signifie «os-matière», le matériau de l’essence. Celui-ci porte sur la transformation de surfaces planes en objets tridimensionnels et les relations entre la structure et l’habillement. La collection présente des bijoux artistiques aux côtés d’autres pièces

délicates et commerciales. Le processus de création allie l’artisanat et des outils classiques contemporains comme des programmes de conception au  formage sous vide, découpes laser et gravure. Les composants sont en PVC, alpaga, journal, bouchons, laiton et strass de zirconium.

Ce qui vient à l’esprit quand on regarde son projet OSSOMATERIA, ce sont les contradictions des structures métalliques droites et cassantes face à la fragilité du papier, la rigueur du métal contre la transparence du plastique, la douceur des tissus avec des pierres brutes … Elle joue avec ces structures étonnantes ainsi qu’avec leurs ombres-portées sur le corps. 

LA FEMME AU VOILE

La burqa, à proprement parler, qui recouvre tout le visage ainsi que les yeux dissimulés derrière un grillage, se retrouve principalement en Afghanistan, au Pakistan et en Inde, où, bien souvent, les femmes n’ont d’autre choix que de la porter. 

Ces dernières subissent alors de facto une façon de s’habiller dans laquelle la mode ne peut occuper aucune place, raison pour laquelle l’y associer peut s’avérer indécent. Or, rassurez-vous, loin de nous l’idée d’écrire un brûlot anti-religieux, notamment après les polémiques de ces deux dernières années en France !

Si nous avons malgré tout choisi de conserver ce terme de "burqa" dans le titre de ce débat, c’est que l’amalgame qui tend à nous faire confondre ce vêtement avec tout ce qui se veut ample et un tantinet sombre est plus facile à faire qu’à défaire. Du coup, la burqa est devenue en Occident, et à tort, le terme générique pour qualifier la tenue de la femme musulmane, alors qu’elle n’en n’est finalement qu’un élément marginal.

Il est certain que ces vêtements qui dissimulent entièrement le corps ne laissent personne indifférent, et reconnaissons qu’ils exercent sur nous (voire même de façon inconsciente) une forte impression, voire de la fascination, indépendamment de toutes les symboliques, le plus souvent négatives, qu’on leur prête. Qui ne s’est jamais retrouvée aux Galeries Lafayette côte à côte avec une Saoudienne toute de noir vêtue ?

Le cas échéant, il est probable que vous avez aussi remarqué son sac Chanel en or massif, ses lunettes pavées de diamants, sans parler de l’énorme Rolex ornant son poignet délicat… Et, tout comme nous, vous vous êtes demandé si, ce qui était porté dessous, était du même acabit ! Ainsi, l’abaya, tenue d’apparence plutôt ingrate, c’est le moins qu’on puisse dire, apparaît soudain comme LE sésame de la caverne d’Ali Baba ! C’est aussi là qu’en réside toute la magie : conjuguer une sobriété des plus austères avec les fantasmes de mode, entre autres, les plus sexy et les plus fous ! Ah, l'imaginaire quand tu nous tiens !

POUR MA SOEUR

Contrairement à ce que ma soeur pense "il y a trop d'Arabes en France !!!"  Elle a oublié que depuis 732, ils ont été repoussés par Charles Martel et que nous sommes finalement tous plus ou moins des descendants des Maures. Il n'y a pas plus d'Arabes en France, à part quelques Quataries qui habitent dans le 16ème arrondissement, que d'autres nationalités étrangères. Les Arabes, dont elle nous parle, sont des Français issus de l'immigration. 

«L’identité et la renommée de la France – aux yeux des Français comme ceux des étrangers – doivent beaucoup à Emile Zola, à Marie Curie, à Picasso, à Le Corbusier, à Samuel Beckett ou à Charles Aznavour : tous nés étrangers». La France est un grand pays d’immigration comme les Etats-Unis mais son discours historique est différent. Elle est un peu schizophrène, 25% de ses habitants ont un parent étranger à la première ou deuxième génération, mais on ne se le dit pas. Car l’histoire nationale remonte jusqu’à Clovis, sans interruption, au contraire de la Pologne ou de l’Allemagne, et le récit national privilégie l’unité et la continuité. Pourtant, même le nom "Francs" provient de l’étranger. Le monde entier s’est donné rendez-vous chez nous, mais la France ne le sait pas…

Merveilleux peintres, artistes et écrivains français qui sont venus tout au long des générations produire le meilleur de ce que peut avoir la France d'aujourdh'ui et c'est grâce à eux que nous avons un tel rayonnement international.

'REVISITAGE' OU MANQUE D'IDEES

En 2006 déjà, Marc Jacobs reprenait (pour Louis Vuitton) le fameux sac Tati dans sa version la plus réaliste, lui préférant quand même un cuir souple tressé au traditionnel plastique, et lui apposant simplement le logo de la maison.

Ce modèle revu et à peine corrigé par le créateur s’affichait fièrement à 1 200 euros tandis que la version originale se vendait au prix d’une baguette de pain du côté de Châtelet. « C’est bien d’être ringard » expliquait le créateur. Mais la fashionista de l’époque ne fut pas dupe, car pas encore prête à rire de la mode.

Cette apparition trop précoce ne sera que partie remise, le problème des clientes de Vuitton c'est que le Tati elle le voit en Banlieue tout le temps alors que les riches du 16ème arrondissement ont l'impression avec ce sac d'avoir été faire un tour en Banlieue parisienne.

VIKTOR & ROLF

Le premier flagship Viktor & Rolf a ouvert ses portes à Paris dans les anciens bureaux de Christian Lacroix. Situé au 370 rue Saint-Honoré, cette boutique tranche tout particulièrement par son look car l'intégralité du lieu, soit 500 mètres carrés est entièrement recouvert de feutre gris. C'est une occasion inédite pour Viktor & Rolf qui présente, sous un même toit, l'ensemble des produits du duo néerlandais, depuis le prêt-à-porter féminin jusqu'aux diverses collections capsules, de robes de mariée, trench-coats ou encore chemises.

Le rez-de-chaussée accueille la maroquinerie développée au fil des dernières saisons pour l'homme et la femme, ainsi que la joaillerie et la parfumerie, riches de plusieurs bestsellers sous licence avec L'Oréal.

Un imposant escalier mène le visiteur à l'étage inférieur, qui impressionne par sa taille et l'austérité apparente de son concept, signé par Architecture & Associés, le cabinet français de Pierre Beucler et Jean-Christophe Poggioli.

DESIGNER HUNTER

Les groupes internationaux s’intéressent aux jeunes créateurs. Ils créent des prix, mettent en place des partenariats, prennent des participations dans des marques de prêt-à-porter, de chaussures, de sacs ou d'accessoires.

Les Britanniques Nicholas Kirkwood et JW Anderson et le Français Maxime Simoens font ainsi aujourd’hui partie de la génération montante. LVMH,  qui vient de créer un prix récompensant un jeune créateur, se substituant à la Chambre Syndicale de la Haute Couture, et faisant le travail de Monsieur Grumbach, organise un prix doté d'une récompense substantielle de  300 000 euros.

L’Ecossais Christopher Kane, l’Américain Altuzarra et tout récemment, Tomas Maier sont, quant à eux, entrés dans le giron de Kering (ex-PPR). Le Belge Cédric Charlier a, lui, séduit le groupe italien Aeffe.

Mais, les grands groupes ne sont pas les seuls à s’intéresser à ces créateurs entrepreneurs de mode, il y a aussi les Influenceurs sur internet comme le Groupe Canal-luxe.org qui propulsent les jeunes talents à la première place des couturiers.

Sous le patronage de Didier "Putman" (les initiés comprendront), toujours plus enfermé dans sa connaissance de la mode des années 1970, et à qui aucun des florentins qui l'entourent ne lui dira de dégager et de laisser la place au jeune, la mode fait le grand écart entre Franck Sorbier et Nabila. Quelle gajure !

L’innovation et la recherche se remplissent d’un immense souffle créatif. Ces jeunes pousses sont aussi une solution à la nécessité de renouveler sans cesse et toujours plus vite… Leurs démarches sont des alternatives aux discours passéistes sur le patrimoine et les savoir-faire.

Il était temps pour LVMH, Kering et les autres de faire bénéficier ces talents de leur puissance de feu pour obtenir des boutiques dans les endroits les plus prestigieux de la planète, organiser un défilé et lancer des campagnes de communication. A la fin, il faudra bien se rendre compte qu'une Politique bloque toujours les compétences par ses prises de position uniques afin de se maintenir en place. Mais pour certains, tout cela, c'est du pipeau !!! Non ?

THE BLAIR FROM LVMH

Une réplique culte de Blair Waldorf qui tape dans le mille. Car oui, mesdemoiselles, le bonheur s’achète, le bonheur a un prix…
3 350€.

Finition en cuir de veau finement grainé, initiales en laiton doré - Si d’ordinaire, nous ne sommes pas vraiment fans des sacs de marque avec logo trop ostentatoire, clairement celui-là fait exception.

Avec ses deux bandoulières amovibles qui permettent un porté à l’épaule, au bras, croisé, à la main ou en pochette, ce sac est une véritable pièce tout terrain qui s’adapte à merveille aux looks les plus chics comme aux plus casuals.

PAS DE CARTIER

C'était mardi matin vers 10 heures au Grand Palais. J'étais invité pour voir en Avant-Première le style et l'histoire de la maison de Cartier. Au moment de rentrer, je pris comme d'habitude mon appareil photo pour avoir une vision globale de la salle et, à ce moment-là, un gardien, bien intentionné, vient me dire : "Monsieur, il est interdit de prendre des photos".

Interloqué, je lui explique que nous sommes invités en Avant-Première. qu'il y a dans la salle également des journalistes de Vogue et de d'autres magazines qui vont faire des reportages sur l'exposition et qu'un reportage sans photo n'a pas vraiment d'intérêt !!!

Ce dernier demeure intransigeant et nous interdit formellement de prendre des photos. Vous n'aurez donc pas de photo sur l'exposition, mais de toute façon, nous n'en avons pas besoin car c'est une exposition terne et morne à moitié plongée dans la pénombre. Cartier nous a habitué à mieux et plus grandiose. L'exposition peut se résumer en une mini exposition de bijoux d'anciennes clientes de la marque.

En effet, la maison s'est contenté de récupérer les bijoux de ses clientes les plus célèbres comme Grace Kelly ou quelques Princesses du Moyen-Orient. Ils sont exposés dans une espèce de bric-à-brac complètement anachronique dont le véritable fil d'Ariane est le diamant. 

Alors, si vous voulez passer un bon moment, un conseil : n'allez pas à la présentation de Cartier au Grand Palais. Allez plutôt dans un musée comme Beaubourg pour voir la première presentation sur l'histoire mondiale de l’art, au travers d’un parcours de plus de 1 000 oeuvres, avec 400 artistes et 47 pays.

ANTOINE ARNAULT

Jeudi, le groupe de luxe LVMH a déclaré qu' Antoine Arnault deviendrait le Président de Loro Piana. LVMH a finalisé l'acquisition de cette marque de vêtements en cachemire ‘Loro Piana’ et nommé Président Antoine Arnault.

L'accord de 2 milliards d'euros (2,7 milliards de dollars) a été annoncé en juillet. Les  deux anciens propriétaires de l’entreprise, Sergio et Pier Luigi Loro Piana, resteraient à la tête du groupe.

La famille peut-elle être au centre d'un groupe comme LVMH ? De nombreux économistes croient que le népotisme qui a tendance à donner des emplois aux membres de sa famille, empêche les jeunes talents de trouver du travail, et de travailler pour un groupe comme LVMH, ce qui mène immanquablement à la chute d’un groupe.

Le népotisme est de retour car la question est : sur un groupe tentaculaire à qui peut-on faire confiance de nos jours ? C’est la seule et unique raison.

Un peu d’histoire,  le népotisme - la préférence donnée aux membres de votre famille sur les autres - est originaire d’Italie, issu de la coutume des Papes médiévaux distribuant des emplois de bureau à leurs neveux - " nipote " ‘Neveux’ en italien . Mais, pour le pape de l’industrie du luxe, le népotisme est normal. Je donne raison à Monsieur Bernard Arnault, la confiance n’exclue jamais le contrôle.

La rumeur dit que LVMH rachète cette marque pour prendre le controle de la fameuse course des Caraïbes 'Regatte Lora Piana'. Comme pour la Coupe de l'America, l'Europe aurait également sa Coupe de supers voiliers. Il n'y a jamais de hazard avec Monsieur Arnault !!!. Non ?

MORT DE NELSON MANDELA

Nelson Mandela, héros de la lutte anti-apartheid, est mort à l'âge de 95 ans à son domicile de Johannesburg, a annoncé jeudi soir le président sud-africain Jacob Zuma en direct à la télévision publique. Nelson Mandela "s'est éteint", a déclaré Jacob Zuma, avant de rendre un long hommage à l'ancien président sud-africain. "Notre cher Madiba aura des funérailles d'Etat", a-t-il ajouté, annonçant que les drapeaux seraient en berne à partir de vendredi et jusqu'aux obsèques. Les rumeurs de sa mort allaient bon train sur les réseaux sociaux alors que plusieurs membres de la famille de Nelson Mandela se sont rendus à son domicile de Johannesburg dans la soirée. 

Le décès de Mandiba provoque sans surprise l'émotion en Afrique du Sud où de nombreuses personnes affluent au domicile de l'ancien président sud-africain. Les réactions sont également déjà très importantes sur les réseaux sociaux. Les utilisateurs de Twitter saluent en masse "un grand homme et excellent exemple pour l'humanité", rappelant que "c'est un des hommes les plus importants du siècle".

APEROTIQUE C'EST QUOI ?

Un Apérotique ? Ce sont ces nouveaux « afterworks artistiques érotiques et nomades" qui sillonnent les lieux prestigieux de la capitale avec pour vocation de redonner à l’érotisme ses lettres de noblesse. Alors, j’ai répondu à l’invitation de l’organisatrice de l’événement.

L’"afterwork" s’inscrit parmi ces initiatives festives qui tendent à sortir l’érotisme de son ghetto et à le hisser au diapason des Arts !

Mais, qui rencontre-t-on aux "afterworks" ? Une population disparate parmi laquelle le courant passe bien. En plus d’un nombre inqualifiable de bombes atomiques au mètre carré, j’ai croisé une marionnettiste érotique, plusieurs juristes, une magicienne divinatoire érotique, un commercial, un photographe, une troupe de théâtre féminine, un président de Chambre de Commerce Etrangère, quelques personnes du monde du spectacle, un graphiste, un tatoueur, une responsable de communication... et un sociologue ; un joyeux mélange d’épicuriens, au sens de Gargantua - bon prétexte.

Une grande bande de dégénérés, mal dans leur peau, et ne voulant certainement pas rentrer chez eux, car vraiment pas d’intérêt de rentrer dans un studio de 15 m², sans bibliothèque mais il ne lise pas , sans aucun sens dans leur vie. Pas cool, Non ?

DIDER GRUMBACH DU PIPEAU

De la propre bouche de Monsieur Didier Grumbach, c'est du pipeau ! J'ai pensé un moment qu'il parlait de lui, mais en réalité, Monsieur Didier Grumbach, Président de la Chambre Syndicale de la Haute Couture qui a contribué à rendre la Chambre Syndicale Fantôme, nous parle de quelque chose qu'il ne connaît certainement pas. Car, en effet, les industries où USINE textile familiale, qu'il a eues entre ses mains, ont tout faite faillite. 

Alors, les remarques concernant le guide des bonnes pratiques pour renforcer et faciliter les échanges entre façonniers et donneurs d'ordre s'il trouve que c'est du pipeau, où est le guide de la Haute Couture ? et s'il y en a un encore faudrait-il le faire respecter!

J'aimerais quand même savoir ce qu'il préconise, car depuis près de 20 ans celui-ci n'a jamais écrit un guide pour l'industrie mais surtout quelle est sa légitimité pour parler de l'industrie du textile alors que celui-ci chaque fois qu'il a eu une entreprise à gérer a déposé le bilan. Et aujourd'hui c'est carrément la faillite de la Haute Couture après 20 ans de sa présidence. Ce qui est bien en France, c'est qu'on n'a pas besoin de cerveau on a juste besoin de bons exécutants et de bons cireurs de pompes. Vous avez dit "Pipeau" ! Oui, vraiment nous le savons, vous vous y connaissez.

DIMANCHE C'EST LUNDI

La Fédération Française du Prêt-à-Porter Féminin se félicite des recommandations du rapport de Jean-Paul Bailly sur la question des des exceptions au repos dominical dans les commerces.

Ces recommandations constituent une première étape importante mais, beaucoup trop timide, vers une plus grande facilité de l'ouverture des commerces le dimanche et vers une simplification de la réglementation.

Cependant, la fédération reste favorable à une libéralisation dont les modalités restent à définir par les pouvoirs publics et les partenaires sociaux, afin de permettre la relance de la consommation.

"Dans un contexte de baisse de la consommation des ménages sur le marché français, tout doit être fait, souligne Daniel Wertel, le nouveau Président de la Fédération Française du Prêt-à-Porter Féminin, pour répondre à l'attente profonde des consommatrices françaises mais aussi étrangères et faciliter les actes d'achat".

"Nous souhaiterions, dans cette optique, une concertation générale sur les autres dossiers liés à la relance de la consommation. Je pense notamment à la problématique des soldes flottants et des promotions qui exigent des prises de position courageuses et rapides".

Depuis sa création en 1929, les missions de la Fédération Française du Prêt-à-Porter Féminin ont toujours été de promouvoir les entreprises de mode, de les accompagner dans leur développement, en France comme à l'International. Le marché français du prêt-à-porter féminin représente près de 11 milliards d'euros annuels et était en baisse de 1,6 % au premier semestre 2013.

IPHONE 5 SORTEZ COUVERT

La marque Gresso spécialisée dans la protection de nos téléphones portables vient de sortir une toute nouvelle coque réservée à l’iPhone 5CS

Cet objet est entièrement conçu en titane à l’exception d’un encart en or 18 carats où est gravé le nom de la marque. On ne peut pas dire qu’il alourdisse l’iPhone 5 S déjà très léger puisqu’il ne fait que 35 grammes.

Cet accessoire limité à seulement 99 exemplaires dans le monde est garantie à vie. Il sera disponible à partir du 12 Decembre prochain pour un prix de 3.000 dollars. 

Ouf !!!