dimanche 31 mai 2015

TALON HAUT DANGER !!!

Il parait qu'il faut souffrir pour être belle… Une étude publiée le 12 mai dernier par "Journal of Foot and Ankle Surgery" a démontré que le symbole ultime de la féminité, le talon haut, était plus dangereux que l'on ne pouvait le penser. Des chercheurs de l’université d’Alabama à Birmingham se sont concentrés sur le nombre de blessures des américaines liées au port de hauts talons, entre 2002 et 2012. 

Cette évaluation, des plus sérieuses, est basée sur la collecte de données réalisée par une commission de sécurité des produits de consommation, qui recense les blessures soignées dans les hôpitaux américains faisant partie de l'échantillon retenu pour l'étude. Et le résultat est édifiant : chaque année, environ 11 200 américaines se blessent à cause de ce type de chaussures (avec, en 2011, une pointe à 19 000 accidents). En dix ans ont été recensés 3 294 blessures et 123 355 accidents nécessitant un recours aux urgences. Les femmes les plus touchées appartiennent à la tranche d'âge 20-29 ans.

Gerald McGwin, l’un des auteurs de l’étude prévient : "Si le port de chaussures à talons hauts est chic, il serait bon de rappeler que d’un point de vue médical, il peut engendrer de sérieux problèmes". En effet, lorsqu’une femme choisit de porter des chaussures à talons, ses chevilles et ses pieds peuvent concentrer jusqu’à 80 % des blessures.

Pour les chercheurs américains, il n’est donc pas bon de marcher quotidiennement avec ce type de chaussures, qui réduisent le mouvement musculaire des chevilles, et peuvent aller jusqu’à provoquer des troubles musculosquelettiques, dans le pire des cas. Les chercheurs (qui révèlent également que la moitié des blessures des Américaines à cause des hauts talons, se produisent à domicile) conseillent donc aux femmes de limiter la hauteur des talons à 4 centimètres et de garder les échasses les grandes occasions. Ils nous rappellent également la nécessité de choisir des "chaussures adaptées à son environnement et à son activité".
Sarah Jessica Parker, si tu nous lis…

Clemode

samedi 30 mai 2015

ANTI JULIA ETEDI ALIAS JULIA ALETHEA GAGYI BASSEVILLE

Elle a une chevelure léonine, rouge comme la passion, des yeux vifs qui pétillent d'intelligence et qui vous déshabillent, perçants comme dans l'ancienne Mésopotamie, une allure de gazelle elle rentre dans nos blogs timides sans forcer la porte mais pourtant avec fracas digne d'un ouragan.

Ses origines bi-culturelles, Hongroise et Française, lui permettent de nous donner son avis sur ce qu'est un artiste : "Pour moi, être artiste aujourd'hui, c'est un comportement, nous dit-elle : Je suis née artiste, et je pense que la beauté est dans le regard de l'autre. Créer, c'est faire un cadeau aux autres". Julia, geste vif, manie le verbe de sa petite voix douce et son appareil photo comme une arme. P"hotographier, c’est mettre sur la même ligne de mire la tête, l’oeil et le coeur" ajoute-t-elle sans paraphraser Cartier Bresson.

Les artistes sont des visionnaires, et chaque fois, que j'en rencontre un(e), je suis fascinée par leur capacité à comprendre le monde de demain.


Dans un monde où l'excellence tend à disparaître, où le banal devient extraordinaire, où les imbéciles prennent le pouvoir, un artiste devient un homme dangereux. Julia fait partie de ces intemporels. Bien sûr, quand vous êtes différent, vous vous attirez toujours la jalousie et les convoitises. 

Recevoir un artiste chez soi, c'est toujours une torture, car il inspecte chaque chose posée sur la table ou accrochée au mur. Il ne juge pas, il regarde, il analyse, il est comme un grand enregistreur, il imagine notre futurs.

Si Julia rêve éveillée, elle nous emmène dans son "chem" initiatique comme un chaman destiné à nous transporter dans une autre dimmention. Rêve du visionnaire, qui nous transporte dans un monde abstrait mais imaginable, et qui met en forme ses allégories puissantes que la civilisation occidentale nous a atrophiées ou inhibées et qui nous empêche de voir mais nous laisse seulement regarder.

Une vision où «le monde devient un abstrait réel », donnant une équation computationnelle des corrélations neuronales dans le mécanisme de notre vision. C'était super de vous avoir rencontré.

http://www.juliaetedi.com/ ale de basseville

Anonymode

QUI EST ALEXANDRE DE BASSEVILLE ?

Jarl Alexandre Alé de Basseville - descendant du roi Harald 1er de Norvège et de Robert de Basseville de Normandie - est né à Bordeaux le 8 juillet 1970, fief d'Aliénor d'Aquitaine. Il est l'un des derniers descendants directs de la grande lignée des rois Viking et Normands.

Passionné d'arts, c'est à l'âge de 15 ans qu'il décide de rejoindre celui qui a révolutionné l'art contemporain. C'est alors qu'il apprend les bases du pop art, grâce à la photographie, à la peinture, à la filmographie ou à la sculpture sous les conseils avisés d'Andy Warhol, jusqu'à l'âge de 17 ans, où il s'envole pour Milan. 

C'est à l'école d'art de Milan qu'il fera la rencontre de celui qui est aujourd'hui considéré comme le dernier surréaliste : Lucchi Renato Chiesa. Ses premières expositions de peinture, organisées par un grand agent New-Yorkais, feront sa renommée mondiale à l'âge de 18 ans. Ces différentes expériences lui permirent d'être reconnu entre autres par le Metropolitan Museum de New York et les experts du monde de l'art.
Ses photos deviennent pour certaines mythiques dans les magazines de mode et de tendances, faisant de lui une des coqueluches mondiales.

Après avoir partagé l'univers de la couture avec sa grand-mère, une des dirigeantes d'une grande enseigne française, c'est avec Claude Montana qu'il découvre un attrait tout particulier à la haute couture. Il expérimentera notamment la peinture sur cuir. Jarl Alé peaufinera cette méthode jusqu'à l'extrême en réalisant des sculptures sur tissu. Il développera par la suite cette sensibilité entre ces deux univers en observant l'émergence du rôle de directeur artistique et de création. Il navigue alors entre tendances et contrôle des collections au sein de plusieurs grands groupes français et internationaux. 

Il part à Los Angeles au début des années 2000 dans l'optique de créer son propre studio photo et d'assumer pleinement son rôle de directeur artistique.
Il y fait notamment la rencontre d'une femme audacieuse, Rosanna Arquette, avec qui il co-produit le film "Searching for Debra Winger". Une amitié sans frontières nait entre ces deux personnes qui se considèrent aujourd'hui comme frères et sœurs d'âme.
Il fait aussi la rencontre de stars hollywoodiennes telles que Jane Fonda, Laura Dern, Salma Hayek, Tom Cruise, Val Kilmer, Brad Pitt etc... Ainsi qu'au sein du milieu musical où il fait la rencontre des Guns & Roses, Michael jackson, Korn, Marilyn Manson, Christina Aguilera, Pink, etc... 

Le monde associatif fait partie intégrante de sa vie. Jarl Alé a été emporté par le discours d'Elizabeth Taylor et s'est, dès l'âge de 19 ans, engagé dans la lutte contre le SIDA en faisant des happenings peinture destinés à représenter la violence de la maladie (AIDS) et à récolter des fonds. Sa mobilisation continue aujourd'hui autour d'une autre cause non moins importante : offrir travail et éducation aux jeunes filles et femmes de certains pays en voie de développement ; la fondation WOMANITY est représentée par Mr. Yann Borgstedt. 

Il est aujourd'hui décidé à s'engager politiquement dans son pays, la France, au sein d'une Europe de culture et de traditions dont il se veut tous les jours l'un des représentants par son charisme et ses allures Viking. Touché par une maladie génétique, il est handicapé et comprend le besoin de lutter pour l'aménagement des infrastructures et le regard des autres à travers la politique.

jeudi 28 mai 2015

LE LUXE, UN COMPORTEMENT !

Le marché mondial du luxe est confronté à un profond changement dans les comportements. La puissance de l'Internet joue un facteur déterminant dans l'achat d'un bien de luxe à la fois en termes de prix et de livraison. Les achats des touristes ont complètement changé les habitudes de consommation

Les fluctuations de devises ont un impact immédiat sur les flux touristiques et les habitudes de dépenses, en particulier dans les pays d'Asie, qui viennent faire leur achat en Europe. Le marché mondial des produits de luxe a atteint le montant astronomique de € 224 000 000 000 de revenus en 2014, en hausse de 4% par rapport à 2013 et 10% en 2014.

Les fluctuations de change ont un impact majeur sur l'industrie du luxe. D'ailleurs, les compagnies aériennes ont compris le système et donne à la capitale de la France, par vagues successives, des flots de Danois suivis d'Allemands, d'Italiens et ainsi de suite.

Avec un euro égal à $ 1,10, à son plus bas niveau face au billet vert depuis septembre, ce phénomène aura des répercussions sur les stratégies de l'entreprise, avec un mouvement massif de consommateurs de luxe vers la zone euro où les produits de luxe sont moins chers.

Dans de nouveaux environnements, les marques doivent muter fondamentalement. Le retail a changé, ainsi que les consommateurs. Leur shopping devient, comme pour Dubaï, des vacances au soleil.

Les Chinois sont extrêmement volatiles, changeant de mois en mois leurs destinations pour s'adapter au marché de l'euro face au dollars. Les consommateurs de luxe passent de 140 millions dans le monde à plus de 350 millions. Et les consommateurs Chinois représentent plus de 30% du luxe mondial, comparativement à 2% seulement en 2000. 

Le Web est également devenu un facteur déterminant. Avec l'Internet, aujourd'hui, il y a, en effet, une transparence de prix total.

Mais, pourquoi continuer à investir dans un pays où les prix en euro sont plus intéressants de 60 % ? Car aujourd'hui, 30% des produits de luxe ne sont pas vendus au prix fort étant donné qu'internet sert d'outils de fluctuation des stocks, et régule les outils industriels de production en vidant les stocks sur internet via Vente Privée et autres sites. Les marques font un pari gagnant, et ainsi, diffusent leurs produits sur l'ensemble de la planète. L'autre effet de démocratiser les clients lutte véritablement contre la contrefaçon car, finalement, les prix et les qualités sont analysés par les clients potentiels et que les différences s'estompent.

A la fin, les marques de luxe se voient confronté à un problème majeur : la connaissance des réseaux sociaux, qui changent tous les six mois, et le renouvellement des cadres de plus de 50 ans qui n'y entendent peu à ces technologies.
  

FRAGRANCE FONDACON

Jimmy Choo Man s'est emparé de la récompense du Meilleur Nouveau Parfum Masculin ? Vraiment incroyable pour un flacon qui ressemble à un flacon Chanel ! Donc pour la soirée de l'emballage de la parfumerie appelé plus communément les 'Oscars' de la parfumerie, mais qui compte tenu que personne n'a jamais eu le privilège d'utiliser ce nom "Oscar" à part Jacques Mouclier qui l'avait obtenu à titre gracieux pour la Mode et son opération à l'Opéra de Paris pour les "Oscars de la Mode".

Bref, après ce détour de l'histoire, nous nous apercevons que l'industrie de la parfumerie, que j'appellerai la fumisterie de produits chimiques, se réunit pour faire sa masturbation intellectuelle annuelle.

Comment juger un parfum alors que le principe même de la parfumerie n'est que les parfumeurs ne sont que des conditionneurs ! J'explique : la réalisation de flacon, capot plastique, pompe, fragrance, et emballage carton, provienne en majorité d'entreprises industrielles qui, la plupart du temps, réalisent des produits semi-finis pour les marques.

Les marques elles ne font que ce que fait l'automobile, réunir l'ensemble des pièces en un point A pour être assemblée et distribuée dans les réseaux mondiaux de la parfumerie. Le prix d'un flacon sorti de l'usine coûte 10 € et est vendu en boutique parfois plus de 100 €.

Les marketings ont inventé, en même temps que ce métier, leur salaire prohibitif. Consternant, surtout que là cela n'est que la face cachée de la parfumerie.

mercredi 27 mai 2015

UN PRIX VUITTON

'LVMH PRIZE' pour les jeunes créateurs de mode a été attribué ce vendredi 22 mai au duo portugais Marques'Almeida. Ils ont été récompensés par le jury, composé notamment des neuf directeurs artistiques des maisons du groupe LVMH : J.W. Anderson (Loewe), Nicolas Ghesquière (Louis Vuitton), Marc Jacobs (Marc Jacobs), Karl Lagerfeld (Fendi), Humberto Leon et Carol Lim (Kenzo), Phoebe Philo (Céline), Raf Simons (Dior), Riccardo Tisci (Givenchy).

Les deux créateurs, qui présenteront leurs collections de prêt-à-porter femme à la Fashion Week de Londres, sont issus de la célèbre école Saint Martins, et on fait leurs armes auprès de Vivienne Westwood pour l'une et Preen pour l'autre.

Un prix spécial a été attribué au jeune créateur français Simon Porte Jacquemus, 25 ans, qui gagne 150.000 euros et une année de mentorat.


'Je m’attache beaucoup aux hommes et aux femmes qui s’engagent dans la voie de la création. La petite flamme qui brille dans leurs yeux est très symptomatique. Ceux que nous avons récompensés cette année ont cette détermination et cette volonté que nous recherchons. Nous avons besoin de créateurs, de gens qui entreprennent et il est indispensable d’aider ces jeunes à faire jaillir leur talent'. déclare Delphine Arnault.

mardi 26 mai 2015

UNE HISTOIRE D'ELITE ?

Créateurs de Top models, ayant fait fantasmer plusieurs générations de jeunes filles rêvant de défiler sur les podiums, John Casablancas a poussé la starification des mannequins à l'extrême.

La légende veut que sa mère l'ait envoyé à Paris pour rejoindre son oncle en charge de lui trouver un travail. Alors qu'il attend son oncle dans un Palace Parisien très guindé, il croise deux jolies jeunes filles et commence à discuter avec elles. Lorsqu'il leur demande ce qu'elles font, c'est avec curiosité qu'il découvre l'univers du mannequinat. Intrigué, il les interroge sur ce métier, ce qu'elles font et ce qu'elles gagnent.

Lorsque son oncle le rejoint et commence à lui parler de son futur poste dans le trading, John ne l'écoute plus. Il lui demande de lui prêter cinquante mille francs pour qu'il puisse monter son agence de mannequins. Pris de court, son oncle lui demande comment il compte appeler son agence. A ce moment John revoit une publicité pour un service d'hôtellerie de luxe qu'il avait aperçu sur le chemin du Palace affichant le nom "Elite". La "fabrique à stars" était née.

Jusqu'à sa retraite John se sera battu pour construire la carrière de plusieurs tops et les mener jusqu'au sommet de leur gloire, ne se conformant à aucune règle préexistante mais au contraire en repoussant les codes. Face à Eileen Ford qui s'imposait comme l'incarnation de la mode, il lui répondait "je suis unique".

Pourtant, cet homme audacieux, qui était aussi considéré comme un 'tombeur', a déclaré à sa retraite que son plus grand regret est "d'avoir créé le top-model". Il déplorait le manque de reconnaissance des filles dont il a construit la carrière.

Refus de remercier ceux qui nous ont vu petit ou snobisme lié au cercle fermé du star-system?

Armand Cimbali


lundi 25 mai 2015

LA SOCIALITE

La socialite (personnalité mondaine) diffère selon les pays, car l'une est outrancière et l'autre est naturelle.

Comme tout ce qui veut faire le Buzz aux Etats-Unis, dans la ville de la Grosse Pomme, la socialite ressemble un peu à l'outrancière Dame Lily Van Der Woodsen de la série Gossip girl. 

Voici la description de la socialite en goguette et, c'est seulement seulement ma vision. Elle a plus de 50 ans. Elle est très botoxée. Elle est blonde lissée et habite sur Park Avenue. Elle a comme meilleur ami son coach sportif perso homo bobo. Elle passe ses matinées à renouveler sa garde robe chez Sorbier. Elle passe ses weekends dans les Hamptons, et déjeune avec ses amies dans les endroits les plus côtés de Manhattan. Enfin, elle organise des dîners de charité. Bref, vous l'avez compris la reine de l'oisiveté en constante représentation et qui cherche à se créer une vie sociale en se créant des besoins et des contraintes qu'elle n'a pas.

La Socialite Française, elle, par contre, incarne l’esprit de la femme de la Rive Gauche par excellence. Discrète, sans fard, ni artifice, parisienne, elle mène une vie "simple", s'habille toujours en casual wear, n'aime pas la mode, mais elle est est toujours en front row dans les défilés de la fashion week. Elle adore Franck Sorbier pour sa poésie, adore la musique et les photographies de mode, et nous dévoile sa vie sur Instagram à longueur de journée ou le #pornfood y est présent. 

En fait, on ne sait pas d'où elle vient et ce qu'elle fait vraiment dans la vie : héritière ? Blogueuse ? Djetteuse ? Egérie de marques ? Actrice ? Mannequin ? Personne ne sait vraiment et véritablement tout le monde s'en fout !!! et sutout moi...

Anonymode.

dimanche 24 mai 2015

FLATSHOES A CANNES

Depuis sa création en 1946, le Festival de Cannes en a connu des polémiques ! Celle qui agite la Croisette cette année concerne… des chaussures !

En effet, il semblerait que l'accès au tapis rouge soit interdit aux femmes portant des chaussures plates. Selon le magazine britannique Screen, "plusieurs femmes d'une cinquantaine d'années ont été refoulées de la projection du film en compétition "Carol" de Todd Haynes parce que leurs chaussures élégantes n'étaient pas jugées valables". Le journal ajoute : "de nombreuses invitées, certaines plus âgées et de santé délicate, se sont vues refuser l'accès à cette avant-première très attendue parce qu'elle portaient des chaussures brillantes à talons plats". C'était notamment le cas de l'épouse d'Asif Kapadia, réalisateur du documentaire "Amy", qui a finalement réussi à accéder à l’avant-première du biopic sur Amy Winehouse, de son mari. Il semblerait également que certaines personnalités n'aient pas eu à souffrir de cette discrimination... Allez savoir pourquoi !

Les organisateurs ont rapidement tenté de faire cesser cette polémique en démentant l'information, par l'intermédiaire de Thierry Frémeaux, délégué général et sélectionneur des films du Festival : "Pour les marches, le règlement n'a pas changé: smoking et tenue de soirée mais aucune mention sur les talons". Il ajoute : "la rumeur selon laquelle le Festival exige des talons hauts pour les femmes sur les marches est infondée".

Il semblerait donc que des vigiles, un peu trop zélés, aient interprété "tenue de soirée" comme "talons hauts de rigueur"… Fin de la polémique donc ! Pas certain, dans la mesure où des propriétaires de boutiques de chaussures à proximité du Palais des festivals et des congrès ont confirmé l'obligation de se percher sur des talons hauts. Il semblerait également que la chaussure noire soit de rigueur pour les hommes. Enfin… pas tous, puisque Peter Jackson a défilé en baskets de running !

Les réactions des célébrités et d'anonymes n'ont pas tardé sur les réseaux sociaux. La comédienne Emily Blunt s'est exprimée à ce sujet : "Tout le monde devrait pouvoir porter des chaussures plates", "on devrait éviter les talons hauts de toute façon (…). A notre époque, je voudrais croire qu’il y a une égalité entre hommes et femmes, que les femmes ne sont pas simplement des objets." Le cinéaste Denis Villeneuve a, quant à lui, proposé avec humour, de monter les marches en talons hauts, avec ses stars masculines, Josh Brolin et Benicio Del Toro…

Clemode

jeudi 21 mai 2015

KARDASHIAN, CHRONIQUE D'UNE CHUTE ANNONCEE

Elle, qui n'a pas inventé les «selfies», ni l'eau chaude... Madame Kim Kardashian "addicted", depuis des années aux autoportraits à la 'Van Gogh', a décidé, sur les conseils de son mari Kanye West, de sortir un livre composé de l'ensemble de ses selfies. Le livre, le "selfish", un nom bien trouvé, sort bientôt aux Etats-Unis et Madame, je suis la com., réalise, elle-même, sa promotion.

Oh ! un livre d'image, bien sûr, puisqu'elle ne sait probablement pas lire. La femme, la mieux habillée du monde, d'après la Wintour (voir la photo de l'ex-ambassadrice de France, en promenade au festival de Cannes), va publier des selfies, d'elle-même, nus ou pratiquement, nous montrant son séant, et l'ensemble de ses frasques, qui dépasse l'imagination.

Voilà exactement l'image que nous ne voulons pas donner à nos enfants : la vie lassive et sans but de promenade dans le monde en jet privé. Et, pour financer cette vie de rêve, il suffit de se prendre en selfie toute la journée. Une vie de faux semblant et de débile mental mais, qui peut juger, car l'ensemble de nos jeunes, veux faire comme métier 'Kardashian' !!!

"Ne croyez pas que je n'ai mis que des photos sexy dans mon nouveau livre" ironise-t-elle. Vraiment drôle !  Avec ses quelques 31 millions de followers, ce qui prouve que le monde n'a pas toujours bon goût. La Karda, comme nous l'appelons, ici, atteindra sa chute prochainement, car le problème d'être toujours regardée c'est qu'à la fin trop de médiatisation tue la médiatisation, mais cela seules les vraies actrices le savent. Demandez à Cate Blanchett. Kadashian, la chronique d'une chute annoncée.


mercredi 20 mai 2015

MERCI MONSIEUR JACQUES MOUCLIER

Adieu Haute Couture et Maître d'Arts ; Bonjour fabricants chinois de prêt-à-porter ; Adieu Carafe en Cristal de Baccarat ; Bonjour bouteilles de verre de chez verreux.

À tous ceux qui pensaient que Jacques Mouclier qui, ne faisait pas de marketing personnel, n'avait pas fait grand-chose dans la profession ; voici deux faits qui sont très symptomatiques de ses présidences et des incompétents qui lui ont succédés.

Nous apprenons, en effet, aujourd'hui que les normes européennes du cristal qui, jusqu'à présent, étaient comme suit : pour prendre l'appellation cristal,
il faut 24 % d'oxyde de plomb dans sa composition et cela, pour lui donner un éclat et une brillance sans égal, va disparaître et que cette appellation sera bientôt galvaudée une fois de plus, comme l’appellation haute couture qui disparaît petit à petit au profit de rien.

Et bien, si vous ne le saviez pas, sachez que c'est Jacques Mouclier qui, depuis près de 50 ans, faisait un lobbying effréné auprès de la Communauté Européenne pour que l'appellation cristal reste avec 24 % d'oxyde de plomb.

Mais, comme vous le voyez, après son départ, ladite appellation va aujourd'hui disparaître et les fabricants de bouteilles industrielles pourront désormais l'utiliser. 

À tous ceux qui pensaient qu'il n'avait rien fait pour la Haute Couture. En réalité, il entretenait l'ensemble de son réseau de hauts fonctionnaires pour pouvoir garder en France les entreprises qui font et faisaient la grandeur de la France.

A tous ceux qui pensaient qu'il vaut mieux faire du marketing personnel plutôt que de défendre les intérêts d'une profession. Et bien, Messieurs, vous avez aujourd'hui la concrétisation de ce qui va se passer pour la haute couture, une appellation qui deviendra non plus un label mais un labelogo pour des fabricants chinois qui produiront votre prêt-à-porter sous l'appellation Haute Couture.

Cela prouve qu'il ne faut pas seulement faire un copier-coller d’un livre sur la Haute Couture et s'arroger le droit de s'approprier l'ensemble du bilan d’un homme pour pouvoir briller en société. La vérité sort toujours. Au final, les actions menées en sous-main avaient une vraie utilité. Demander aux gens, qui vous dirigent, qui va réellement à Bruxelles pour faire du lobbying, probablement personne, car trop loin, trop britannique, trop compliqué et pas assez de mise en valeur pour soi-même. 

Très bonne leçon pour ceux qui pensaient que Jacques Mouclier n’avait rien fait et que Didier Grumbach, par contre, en avait trop fait !!

Anonymode

mardi 19 mai 2015

UNE ETOILE QUI FILE

Elle a fêté ses 42 ans le 15 janvier dernier. Et à 42 ans, les danseuses étoiles tirent leur révérence. Aurélie Dupont a donc raccroché ses chaussons de danseuse ce lundi 18 mai, sur la scène de l'Opéra Garnier. Une pluie d'étoiles scintillantes et une standing ovation de vingt-cinq minutes ont salué les adieux de la danseuse étoile, à l'issue du ballet "'L'Histoire de Manon" (un ballet classique de l'Ecossais Kenneth MacMillan, de 1974). Parmi les spectateurs se trouvaient notamment Sandrine Kimberlain, Jean-Pierre Marielle, Marie Drucker, Laurent Delahousse et Alice Taglioni, Isabelle Marant, Edouard Balladur, Claire Chazal et Nicola Sirkis.

La jeune femme, très émue, a reçu des mains de son mari Jérémie Belingard (lui aussi danseur étoile) et de ses deux petits garçons (Jacques, 7 ans et Georges, 4 ans) un gros bouquet. A cette occasion, la ministre de la Culture Fleur Pellerin lui a remis les insignes de Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres "pour rendre hommage à son immense talent, à tout ce que lui doit le ballet de l'Opéra de Paris et, au-delà, la danse d'aujourd'hui". La représentation était retransmise en direct dans 350 salles de cinéma en Europe et France 3 lui consacrera le 30 mai une soirée spéciale avec le documentaire "Aurélie Dupont, l'espace d'un instant" (réalisé en 2009 par Cédric Klapisch), suivi de la diffusion du ballet enregistré lundi par le cinéaste.

Après 32 ans à l'Opéra de Paris qu'elle a intégré toute petite, Aurélie Dupont est devenue étoile à 25 ans, avant de déchausser ses pointes. Mais "ce n'était pas une fin, c'est un nouveau départ. Aurélie est loin d'avoir dit son dernier mot" a déclaré, ému, Benjamin Millepied, directeur du ballet de l'Opéra national de Paris. En effet, cette perfectionniste, qui a dansé tous les grands ballets du répertoire, laissera sa loge numéro 59, mais ne quittera néanmoins pas définitivement l'Opéra de Paris. Elle poursuivra en effet sa carrière en tant que maître de ballet(elle compte transmettre curiosité, humour et détermination) et a aussi des projets à l'étranger : avec le japonais Saburo Teshigawara et le britannique Wayne Mc Gregor ainsi qu'avec Sasha Waltz : "Je sais que les studios de Sasha Waltz à Berlin me seront toujours ouverts. Pour elle, il est incompréhensible qu'une compagnie se sépare de ses interprètes lorsqu'ils ont enfin la maturité qui permet l'interprétation la plus sensible". Lundi soir, il ne s'agissait donc que de l'au-revoir d'une étoile !

clemode

lundi 18 mai 2015

EN MODE PHOTO

En mode photo – « Une image vaut mieux que mille mots. » Confucius JULIA ETEDI

A l’époque où la télévision a le vent en poupe, Paris Match clamait «le poids des mots et le choc des photos» insistant sur l’efficacité d’une image par rapport à un discours. Aujourd'hui, dans la mode, le choc des photos marque surtout une période précise, comme un scribe qui retranscrirait les mouvements et les tendances de celle-ci. La mode des photos a explosé avec les Smartphones et Instagram, marquant l'émergence des applis photos et leurs paramètres pré-enregistrés, accélérateurs fabuleux du processus de création. Les photos ont déferlés sur la toile et des tendances se sont répandues avec leurs déclinaisons : #selfie, #pornfood, #TBT ... 

Le règne du hashtag et de la popularité mesurée au nombre de followers ont vite déterminé la pertinence d’une image et ont révolutionné le système de référencement. Tandis que l’apparition du numérique a engendré la démultiplication du nombre de photographes, ce phénomène de démocratisation de la photographie a connu une accélérération avec les réseaux sociaux.
Comme si la personne derrière l’appareil ne comptait plus. Par contre, c’est l’outil technique que l’on met en avant … Et Paris Match de répliquer avec un nouveau slogan «  La vie est une histoire vraie » pour se démarquer de la virtualité d’Internet (il y a 7 ans).

Photos de mode – « La photographie acquiert un peu de la dignité qui lui manque, quand elle cesse d'être une reproduction du réel et nous montre des choses qui n'existent plus ». Marcel Proust

Dans le paysage des photographes de mode, on distingue d’un côté les professionnels spécialisés (défilés, catalogues, campagnes…) et de l’autre ceux qui avec leur Smartphones capturent des instants dans les coulisses, assis parfois au premier rang des défilés couture tels ces nouveaux blogueurs de mode influents qui se retrouvent aux côtés des rédactrices en chef de mode.

« La photographie est une brève complicité entre la prévoyance et le hasard. »  John Stuart Mill

Les photos fabriquées par des professionnels sont bien différentes des bloggeuses qui ne font que retourner l’appareil sur leur propre image. C'est la version moderne de l'autoportrait des peintres impressionnistes ou le « Regard du Monde au travers de soi-même » ! La photographie comme outil de réalité virtuelle qui passe par la médiatisation ou le quart d’heure de notoriété si bien exprimé par Andy Warhol il y a déjà 30 ans.

Photo tout court – « Photographier, c’est une attitude, une façon d’être, une manière de vivre ». – Henri Cartier-Bresson.

Tour à tour la photographie a été le reflet de la mode et la mode le reflet de la photographie. La montée en puissance des réseaux sociaux a modifié ces jeux d’influence. Il me semble que le « web » a quelque chose de nouveau à apporter à la photographie et à la mode au 21ème siècle : un mouvement qui n’en est qu’à ses débuts. Travaillant avec un génie des médias, créateurs de 13 webzines fédérés par Canal-Luxe, j’espère voir et participer à un véritable changement qui valorise les jeunes talents et privilégie la création à la fois dans la photographie et la mode. 

« L'inexactitude n'existe pas en photographie. Toutes les photos sont exactes. Aucune d'elles n'est la vérité. » Richard Avedon 

J.A.


dimanche 17 mai 2015

LE SEIGNEURS DES "ARNAULT"






















C'est presqu'un pillage institutionnalisé que l'on découvre aujourd'hui. Il est vrai que l'on ne copie que les meilleurs. Mais, si la Chambre Syndicale continue à ne prendre comme adhérent que les mauvais, alors qui va copier sur qui ?

D'ailleurs, certains créateurs ont déjà compris qu'ils ne pourront plus se nourrir de la puissance des créations des Maîtres. Aussi, comme ils sont privés de leur substantifique moëlle, vont-ils chercher dans les archives des maisons, reconditionnent les collections d'hier et se les approprient pour mieux briller devant le Seigneur des "Arnault".

La photo ci-dessus révèle l'ampleur des dégâts. On laisse sans aide ni aucun recours un Maître qui se fait systématiquement piller ses créations. J'en connais un, pour ne pas le nommer, Serge Mansau, sculpteur et créateur de parfums, qui, après avoir accueilli une société de meubles suédoise chez lui, verra une de ses créations copiées et devenir un des produits phares de la marque. Après plusieurs années de procès, c'est lui qui est condamné pour procédure abusive à payer une indemnité à la marque. Dans quel monde vivons-nous ?

Une fois de plus, le Maître Sorbier, créateur de génie, qui, sans cesse remet sur le métier un travail d'artiste hors pair, se voit piller en toute impunité ses créations par des voyous que l'art n'intéresse pas et que seul l'argent motive.

vendredi 15 mai 2015

LA MODE LANTERNE ROUGE

Il y a beaucoup d'histoires qui courent autour de la lanterne rouge qui ornait les portes des maisons de mauvaise vie, appelées plus communément maison close ou du Mot latin 'Lupanarde' dont la traduction littérale est "La Chambre Des Dames".

Cette histoire de vie se passe dans les faubourgs du port de Hambourg. Les cheminots avaient en permanence une lanterne à pétrole qui leurs permettaient de pouvoir arrêter le train en cas de problème. 

Quand ils allaient dans une maison de plaisir, ils accrochaient la lampe au fronton de l'immeuble pour que leurs collègues, qui eux restaient à la gare, puissent venir les chercher sans pour cela à avoir à frapper à toutes les portes des maisons. Ils savaient ainsi grâce à la lanterne où se trouvait le chef de gare.

Les filles de mauvaise vie avaient remarqué que cette lampe rouge augmentait considérablement la fréquentation de l'établissement, alors elles ont mis une lanterne rouge pour augmenter leurs ventes. L'histoire raconte que les cheminots, se voyant privé de ce moyen de localisation, avait ensuite fait mettre un téléphone de la gare aux établissements afin de pouvoir être contacté, et c'est ainsi que le téléphone, qui n'était, à l'époque, que dans très peu de foyer faisait son entrée dans les maisons closes. 

Mais, je n'oublie jamais qu'au début de l'internet, personne ne voulait réaliser de site internet pour son entreprise, à l'exception des propriétaires de sexshop et d'autres sociétés de plaisir ce qui a contribué grandement au développement de cet outil de communication mondiale. Intéressant, Non ? 

Anonymode.

mercredi 13 mai 2015

ST PETERSBURG - FASHION WEEK RUSSE

La ville de Saint Petersburg a organisé en avril sa Fashion Week, baptisée « SPBFW ». Sous le patronage du Syndicat de la Couture de St Petersburg (Stephanovitch Wargnierocolov n'était pas présent !!!) Avec le soutien du Ministère de l’Industrie et du Commerce de la Fédération de Russie, la Fashion Week a réuni de nombreuses marques présentant leur collection automne-hiver 2015-2016. 

Le théâtre Aleksandrinsky, situé au cœur de la ville et au bord de la Neva, offrait un magnifique lieu aux manifestations. Nikita Kondrushenko, directeur  artistique, a tout particulièrement choisi ce lieu présentant une « image moderne de la mode russe et offrant aux marques des salles particulièrement fonctionnelles pour leurs défilés ». Il nous raconte qu'il a été à Paris et qu'il a fait le contraire, afin que les journalistes ne soit pas obligés de courir dans toute la ville.


Pendant 5 jours plus de 35 collections ont été présentées, complétées par des conférences sur la mode, la remise de trophées pour les jeunes étudiants ou des défilés de coiffure Toni&Guy. Parmi les marques importantes, Fabric Fancy (http://fabric-fancy.ru) a retenu tout particulièrement notre attention avec sa technique unique de broderie et exportant vers la France avec une collection (commercialisée sous la marque F. Fancy), réalisée exclusivement pour les Galeries Lafayette. 

Valoriser la culture russe tout en s’adaptant au goût européen, le créateur souhaite s’ouvrir à l’international avec déjà un pied en France grâce à Nadia Kojevnikova et à son show-room New Couture. 

Konstantin Lukin, fondateur du Syndicat de la Couture de St Petersburg, souhaite inciter les créateurs français de mode, d’accessoires ou de joaillerie à venir présenter leurs collections dans un pays qui était autrefois impérial où non seulement on parlait Français mais où également de nombreuses clientes étaient déjà sur place.

mardi 12 mai 2015

BRULOT DE LA MODE

Il y a quelques années, j'avais déjà donné la tendance où les petits blogs de mode donnent des brûlots contre les instances de la mode mondiale faisant le constat amer que nous sommes dirigés par des incultes qui n'ont aucune légitimité de rien et de personne.

La plupart du temps, l'ensemble des gens, qui travaillent dans les entreprises, sont ceux qui n'ont pas pu faire autre chose et qui n'ont pas eu le courage de venir mettre à profit leurs propres compétences, mais plutôt essayer de noyer leur vrai incompétence dans les administrations ou les trusts, là où les erreurs sont partagées, comme les succès d'ailleurs et où les crétins sont noyés dans la masse.


Aujourd'hui, les langues se délient. Cinq ans après avoir donné les tendances, beaucoup de gens pensaient que j'étais seulement courageux de dire tout fort ce que tout le monde pensait tout bas. En réalité, il faut savoir que la vérité émerge toujours du néant. Aujourd'hui, finis les dictateurs, qui muselaient les journalistes par leur fatuité et leur propre frustration. Aujourd'hui Internet, moyen d'expression et de liberté, donne toutes les informations. 

Les groupes viennent de perdre leur leadership dans le contrôle de la com. et les crétins viennent de perdre la fonction de rester tranparent. Aujourd'hui, cela n'est plus possible. Ils sont mis en exergue et, chaque fois qu'il font une bêtise, ils sont épiés par des milliers de blogueurs qui lisent et décortiques ce qu'ils disent. Les crétins sont mis en avant. Les hommes biens sont eux plutôt passer sous silence, mais en réalité, un autre pouvoir émerge ; celui de la vérité et du progrès.

Fini la vision du luxe ou des usines ultra-sophistiquées et robotisées, fini de produire à grande échelle des sacs et des lunettes, qui n'ont rien à voir avec les métiers d'art d'hier, fini cette information qui est tronquée par les groupes pour faire croire que les groupes de luxe sont aujourd'hui des petits artisans.

Je ne tire pas gloriole d'avoir eu raison avant tout le monde, car le groupe Canal-luxe, réseau d'influence, a considérablement diffuser cette information sur l'ensemble de la planète. Mais, aujourd'hui, je constate avec plaisir que beaucoup d'entre vous et, certainement une grande majorité, viennent de plus en plus lire la vérité sur l'ensemble de la profession ; en agressant au passage Wintour et Kardashian, les égéries de la mode qui au 15ème siècle auraient été plus des courtisanes que des femmes de tête, mais pour la Karda c'est plutôt femme de cul.

Alors, venez très prochainement écrire vous-même les articles que vous souhaiteriez qui soient publiés dans notre réseau. Nous lançons une grande entreprise de déstabilisation de la Fashion Week Européenne pour enfin ne pas laisser les LVMH et enfants nous dire notre goût. Nous voulons avoir la possibilité de dire : c'est moche, c'est nul et c'est sans valeur artisanale.

Anonymode.


lundi 11 mai 2015

ROLLS ROYCE FASHION

Présentée dans le cadre du "Women of Influence in the Business of Style" organisé par le PRATT Institute, la célèbre école new-yorkaise d'art et de design, cette Rolls-Royce Wraith, préparée par le département Bespoke Design Studio de la marque, s'inspire des matériaux, techniques et palettes de couleurs utilisés dans la haute couture.

Le coupé de la firme britannique est habillé d'une robe deux tons de blanc. Une combinaison que l'on retrouve également dans l'habitacle avec une sellerie immaculée et quelques touches de vert pâle pour rappeler le liseré extérieur tracé à la main.

L'intérieur est entièrement réalisé avec des matériaux prestigieux, notamment cuir et bois haut de gamme. Une horloge sur-mesure prend également place sur le tableau de bord.

Pour promouvoir cette réalisation unique, Rolls-Royce a organisé une séance photo dans son usine, où des mannequins se livrent à l'assemblage de cette Wraith "Inspired by Fashion".

dimanche 10 mai 2015

PAIRE & FILS

En 1821, Cyrus Clark, un fermier du Somerset (Royaume-Uni), ouvre une tannerie avec son ami Arthur Clothier, et se lance dans la production de tapis en peau de mouton. Afin de rentabiliser au mieux l'affaire, ils commencent à fabriquer des chaussons en peau retournée avec les chutes. Cela s'avère rapidement bien plus rentable que la production de tapis.

En 1863, William Clark, fils de James, prend la direction de l'entreprise familiale. Coup de génie, il a l'idée de créer des modèles ergonomiques, qui suivent parfaitement la courbe naturelle du pied, et lance la William Clark.

Le succès est au rendez-vous et l'entreprise, rebaptisée entre-temps C & J CLARK Ltd, est la première manufacture anglaise de fabrication de chaussures. Les enfants de William, John, Roger et Alice Clark, prennent la suite et, bénéficiant des expériences qu'ils ont acquises lors de leurs nombreux voyages, ils misent plus sur l'aspect technique et sur le design des produits, avec des matières inédites.

A la fin de la seconde guerre mondiale, la marque s'internationalise. Dans les années 50 et 60, plusieurs modèles mythiques voient le jour. Dans les années 70, la marque Clarks utilise désormais des semelles en polyuréthane, apportant encore plus de confort, de légèreté et de solidité. 

Mais, pour trouver une véritable Clarks avec semelle cuir comme elle était autrefois, il faut allez chez Pair&fils, marque résolument jeune, et vous me direz une de plus !!!  Je vous répondrait comme d'habitude, si la création des marques est dans un degrés de qualité qui mérite qu'on en parle cela n'est pas choquant et il peut comme autrefois avoir des milliers de nouvelles marques françaises, car c'est sur cela que la France aujourd'hui vit. les jeunes marques d'hier, Chanel, Dior, St Laurent, Todds, Vuitton... sont les groupes de luxe d'aujourd'hui. Alors, je regarde toujours avec beaucoup d'intérêt les jeunes qui commencent une société avec la passion et le goût du beau. Cela n'est pas si commun et cela méritait de leur donner un coup de pouce. Bonne chance à vous.

Anonymode

jeudi 7 mai 2015

FASHION PLAGIAT DE RAYURES

Marinière ou le style marin sont devenus populaire dans les années 20. Marilyn Monroe arbore une tenue rayée, une large bande T-shirt rouge et blanc qui soulignait ses courbes douces. Cette tendance intemporelle est très aimée aussi bien par les célébrités d'aujourd'hui qui les interprètent chaque fois selon les nouvelles tendances et leur propre style.

T-shirt et pantalon à la Coco Chanel un sac en bandoulière et ballerines. La touche finale est un chapeau. Mais la marinière vient d'abord de Bretagne. Je sais qu'en disant cela je vais m'attirer les faveurs des 2 millions de bretons qui habitent Paris et la région parisienne, mais la realité, c'est que l'ensemble des créateurs ont (piraté) volé à la bigoudenne ce vêtement qui est la seule à l'origine de ce haut.

Une authentique marinière comporte donc sur le torse et le dos vingt rayures bleu indigo larges de dix millimètres, espacées de vingt millimètres et sur les manches, quatorze rayures bleues espacées de vingt millimètres.

Ses manches longues de trois-quarts ne doivent pas dépasser de la vareuse, et son encolure évasée monte au ras du cou. Les marins avaient coutume de dire que les rayures permettaient de repérer plus facilement un homme tombé à la mer.

La marinière, bien que d’origine militaire, est un élément important de la mode. Pendant la Grande guerre, Coco Chanel, habituée des stations balnéaires et inspirée par les marins locaux, lance dans sa seconde boutique, à Deauville, le « style marin », avec des marinières courtes. Elle perpétue ainsi la libération du corps de la femme et le coté « pratique » de ses créations, tout en utilisant un tissu simple lors de cette période de pénurie, le jersey de chez Rodier. La rayure devient luxueuse et se répand sur tout le territoire. Bien des années plus tard, Karl Lagerfeld, respectant l’héritage de la Maison Chanel, revisitera régulièrement la marinière dans ses défilés, particulièrement pour les collections annuelles de prêt-à-porter estival intitulées « Croisière ».

Dans les années 1960, après que Jean Seberg apparaisse à l’écran dans "À bout de souffle" vêtue d’une marinière, c’est Yves Saint Laurent, dès ses premières collections, qui introduit la marinière, de façon détournée, dans la haute couture.

John Wayne au cinéma dans les années 1940, puis Jean Cocteau, Pablo Picasso, Brigitte Bardot, le Mime Marceau, ou Sting plus tard, posent en marinière pour les photographes.

Mais, c'est Jean Paul Gaultier qui reste le plus fidèle à la marinière, durant plusieurs décennies depuis les années 1980, et sous des formes, styles et matières les plus diverses : en 1983, c'est même l’élément majeur de sa collection "Boy Toy", le créateur venant saluer le public à la fin du défilé habillé d'une classique marinière. 

En 2006, la marinière est détournée en robe du soir. Il habille Yvette Horner d’une marinière. Il pose pour Pierre et Gilles avec ce vêtement. Il l’utilise pour le design des flacons de sa ligne de parfums pour hommes « Le Mâle ». Pour lui et jusqu’à sa ligne « enfants » ou ses collaborations avec d’autres marques, la marinière fait partie intégrante de l'univers du Couturier.

Dans les années 2000, Kenzo commercialise des marinières …avec des pois, Sonia Rykiel jusqu’alors abonnée aux rayures multicolores le plus souvent sur fond noir, revient vers le basique de la marinière aux couleurs blanche et bleue.

En 2010, la marinière marque la mode : l’agence Elite fait poser les finalistes de son concours annuel en marinière échancrée. Prada élargit les rayures pour sa collection de septembre. Kitsuné dont Gildas Loaëc, l’un des fondateurs est breton, exploite l’idée de la marinière, Dolce & Gabbana, Michael Kors…

L’année suivante, pour son nouveau contrat avec l’équipementier Nike, l’Équipe de France de football se voit dotée comme maillot officiel pour les matchs à l'extérieur d’un maillot blanc à rayures bleu foncé, inspiré de la marinière. Elle l'utilisera peu. Très commenté, critiqué même, ce maillot rayé est abandonné onze mois plus tard au profit d'un maillot tout blanc, bien plus sobre.

En avril 2011, la boutique Colette consacre un thème à la marinière avec la présence de plusieurs marques de prêt-à-porter : Chanel, Comme des Garçons, Hermès, les macarons Ladurée, Longchamp et son sac pliable, Montblanc, le maquillage YSL, Swatch… La même année, Jean Paul Gaultier toujours, mais également Salvatore Ferragamo, Oscar de la Renta, The Row, ou Alex Mabille, l'incorporent dans leurs collections. Un an après, c'est Thom Browne pour Moncler qui détourne le motif jusque sur les pantalons, suivi par A.P.C. ou Marc by Marc Jacobs.

mercredi 6 mai 2015

LAID DU MONDE

C'est l'histoire d'une jeune femme qui prend sa revanche sur les moqueries dont elle est victime depuis sa naissance. Surnommée la «femme, la plus laide du monde», raillée sur internet, Lizzie Velasquez est l'objet d'un documentaire, intitulé « A Brave Heart ».  Elle y raconte son combat et comment elle est aujourd'hui devenue une icône de la lutte contre le cyber-harcèlement.

Née à Austin, il y a 26 ans, Lizzie Velasquez est aveugle d'un œil, a une peau déjà vieillissante et l'apparence d'une grande anorexique. Mais la maladie très rare dont elle souffre n'a rien à voir puisqu'elle empêche son corps de stocker la graisse et donc de prendre du poids malgré les 5000 calories ingurgitées chaque jour. Ainsi, la jeune femme, qui mesure 1,57 m, n'a jamais pesé plus de 30 kilos.

Ambassadrice de la lutte contre le cyber-harcèlement, en quelques années, Lizzie Velasquez est devenue l'une des ambassadrices de la lutte contre le harcèlement, notamment sur la Toile. Son intervention, en décembre 2013, dans l'une des conférences TED consacrée aux femmes - qui reçoivent les personnalités les plus influentes du monde - a été vue près de huit millions de fois sur YouTube, lui conférant une renommée internationale. 

La jeune femme, diplômée en communication, a publié deux ouvrages sur son parcours, et a créé avec succès une chaîne de vidéos YouTube dans lesquelles elle encourage les gens à s’assumer tels qu’ils sont. Elle milite, par ailleurs, activement pour une loi fédérale qui sanctionnerait plus sévèrement les faits de harcèlement moral. «Je recueille des milliers de témoignages de personnes qui me racontent leurs vies. Tout ça me donne une responsabilité et valide tout ce que je fais», explique-t-elle.

En 2014, Lizzie Velasquez a lancé une campagne destinée à réunir les fonds nécessaires pour un documentaire sur son combat. «The Lizzie Project» avait pour objectif de recueillir $ 180 000, elle en a finalement obtenu $ 215 000. Le résultat de cette campagne, le documentaire intitulé « A Brave Heart », a été présenté samedi dernier au festival du film SXSW. Il a été chaudement accueilli par le public. 

mardi 5 mai 2015

KAZAKHSTAN FASHION WEEK

Almaty est la plus grande ville du Kazakhstan avec une population de 1.421.868. C'est une ville animée et le lieu où il faut être. Jusqu'en 1997, Almaty était l'ancienne capitale du pays, qui déménagea à Astana.

Pourtant, Almaty reste la place commerciale du Kazakhstan. C'est là que se trouvent la Bourse et les plus grandes banques, y compris Kazkommertsbank, qui est la plus grande banque du Kazakhstan, et l'un des plus grands acteurs de l'Asie centrale responsable d'une grande partie de l'économie du pays. C'est là que les stratégie commerciales sont élaborées et la Fashion Week  en fait partie.

La ville d'une beauté spectaculaire, comme un jardin d'Eden, est situé dans les contreforts de la Trans-Ili Alatau dans l'extrême sud-est du Kazakhstan. La toile de fond des montagnes permet une vue spectaculaire et impressionnante.

Le Kazakhstan est le neuvième plus grand pays de la planète et était sous contrôle russe jusqu'en 1993 quand il est devenu un État indépendant. Le Kazakhstan a développé ses propres relations à la fois avec l'est et l'ouest. Bienvenue dans la Fashion Week du Kazakhstan. 

Concernant LEONID ZHEREBTSOV, le créateur Kazak nous donne une collection pleine de maîtrise, et rend une copie probablement la meilleure de la Fashion Week Kazak.

lundi 4 mai 2015

JACQUES MOUCLIER

Un peu d'histoire - En 1994, voici ci-dessous ce que déclarait Monsieur Jacques Mouclier, dans un journal national. A l'époque, cet article était passé inaperçu. Aujourd'hui, il prend, toutefois, tout son sens. C'était une vision que personne n'avait, même pas Pierre Berger.

Jacques Mouclier, Ex-président de la Chambre Syndicale de la Haute Couture déclarait : "L'affrontement de deux logiques qui met face à face l'artisan et le financier, la création et le business.

Il y a vingt ans, j'avais autour de la table des entreprises artisanales qui inventaient. Aujourd'hui, j'ai des groupes qui gèrent et veulent des résultats, nous déclare t-il en 1994. Nous n'avons plus les mêmes rapports. Mais, cette évolution, si triste soit-elle, était inévitable. Elle remonte à l'envolée internationale de la mode dans les années 80. L'époque est alors à l'extrême concurrence, à un marché de plus en plus tendu. Les créateurs ont besoin de fonds. Les financiers, eux, voient dans le luxe une source de profit. Les chiffres d'affaires augmentent de 30 à 40%. On parle alors d'embellie?"

"Les temps ont changé. En deux ans, constate Jacques Mouclier, le chiffre d'affaires a baissé de 15% dans toutes les activités. Les ventes ont chuté sur tous les marchés forts, aux Etats-Unis comme en Italie. Même au Japon, elles dégringolent de 5%. Les consommateurs, y compris les plus aisés, changent de comportement. Ils veulent du raisonnable. La Haute Couture a donc dû revoir à la baisse ses rêves de grandeur. De nouveaux statuts entreront en vigueur dès le 1er janvier 1993. Il fallait au moins 25 employés dans les ateliers pour obtenir le label. Dix seront désormais suffisants. Et, au lieu des 75 modèles réglementaires présentés deux fois par an à la presse, on se contentera de 50 passages.

Si nous n'aidons pas les petites maisons à avoir le label, celui-ci disparaîtra à terme où cela n'aura plus aucun intérêt. Il est déjà très difficile de lutter contre la contrefaçon. Demain, vous ne pourrez pas empêcher les photographes de publier leurs photos sur les nouveaux moyens de communication qui émergent et que notre génération a du mal à comprendre. Notre monde est en mutation et l'internet est probablement un très bon moyen de communication sur les métiers d'art qui demandent à ce que l'on explique la difficulté de réalisation, mais cela sera possible quand les tuyaux de passage des données seront suffisants pour passer des vidéos," m'a comfimé un de mes plus jeunes fils.

"Nous attendrons donc la mutation de notre monde, mais je pense que je ne serai pas là pour voir cela. La chute n'est pas sûre mais probable car mise entre les mains de financiers." Je vous renvoie à la déclaration de Georges Washington sur la prise de votre argent pas les banquiers. Les mêmes problématiques engendrent usuellement les mêmes résultats.



dimanche 3 mai 2015

LA TRUITE DE SCHUBERT A HYERES OK

Annelie Schubert a reçu le Grand Prix Première Vision à la 30e édition du Festival International de Mode et de Photographie de Hyères. A 28 ans avec un diplôme en sciences appliquées de Hambourg, un stage chez Haider Ackermann à Anvers et une maîtrise à Weissensee Kunsthochschulen à Berlin, elle a impressionné les juges avec ses silhouettes sculpturales articulées sur un dos ouvert.

Elle utilise des tissus en néoprène et tweeds. Il y a une belle palette de couleurs. La conceptrice a dit qu'elle a longtemps voulu tenter sa chance au concours de Hyères, que cela avait été un tremplin pour des créateurs tels que Viktor & Rolf. "Je pensais que c'était le bon moment dit Annelie, dont le rêve est "d'avoir un emploi dans une maison comme première d'atelier."

Annelie était l'une des 10 designers internationaux en compétition pour le prix, d'une valeur de € 15 000. Elle a également gagné la chance de travailler dans les ateliers de Chanel.

Faits saillants des quatre jours, le Festival inclut une Master Class avec Karl Lagerfeld, le directeur artistique du festival de cette année et une table ronde sur Instagram. Parmi les intervenants figuraient également Jean-Charles de Castelbajac, Simon Porte Jacquemus et Felipe Oliveira Baptista, qui a présidé le jury de la mode en 2013 et est également un ancien lauréat de Hyères.

vendredi 1 mai 2015

LA FINE FLEUR DE HYERES

Le Ministre de la Culture, Fleur Pellerin, à Hyères, déclare soutenir la jeune création et qu'il ne faut pas vivre sur la légende. Nous nous apercevons rapidement que le Ministre de la Culture n'y entend rien à la couture. 

Madame Fleur Pellerin était certainement plus pertinente quand elle parlait des nouvelles technologies, mais en ce qui concerne les métiers d'art, qui requièrent un savoir-faire de plusieurs dizaines d'années avant d'atteindre l'excellence, elle n'entend rien. Les légendes, comme les appelle, la Ministre sont les Karl Lagerfeld, les Franck Sorbier, les Lanvin, et bien d'autres, qui aujourd'hui diffusent encore le design et les techniques de la Haute Couture qu'ils ont créé hier.

C'est un camouflet au Kaiser que la Ministre de la Culture envoie. La légende n'a rien à faire au Palais de Toulon, et le Maître Karl, photographe, designer et gardien de chaton en douceur, se voit affublé du sobriquet de légende.

Effectivement, il faut promouvoir les jeunes, mais certainement pas en les faisant passer devant ce qui aujourd'hui génère 90% des 90 000 emplois que Madame Fleur Pellerin nous rappelle pour seulement l'industrie du textile et de la couture.

Elle nous rappelle aussi qu'elle a donné Lynes Cohen Solale, élue de la Ville de Paris, une mission très importante à laquelle il fallait réfléchir sur les jeunes créateurs. Toujours un peu étonnant de demander à une femme de 70 ans, qui devrait être à la retraite depuis plus de cinq ans, de porter une réflexion sur les jeunes créateurs de notre pays !

Le festival de Hyères perdu dans une région de France, où les accès de communication sont extrêmement précaires, voit cette année une popularité grandissante grâce au groupe Chanel et à Karl Lagerfeld, jouant au Yoyo entre photographie et Couture. Mais quand les Fashion Weeks de Berlin, New york sont en train d'écraser celle de Paris et, bien étendu, toutes les autres manifestations qui se voient menacées dans la patrie où la Haute Couture a été inventée.

Comme quoi le problème n'est jamais un problème d'intelligence mais, d'abord un problème de bon sens. La stratégie donnée par les journaux et la voix de son maître Stéphane Blablabli commence à faire des petits, et donne une opinion commune mais surtout très commune dans le sens ordinaire du terme.

Anonymode